Au Brésil, un coup de filet a ciblé Primeiro Comando da Capital (« Premier commando de la capitale », en français), l’un des groupes qui domine le trafic de drogue en Amérique latine. Neuf personnes ont été arrêtées mercredi et des perquisitions ont été menées à Brasilia et dans plusieurs États.
Le gouvernement du président brésilien Lula da Silva a autorisé une flottille de deux navires de guerre de l’Iran à accoster à Rio de Janeiro, malgré les craintes de Washington quant à la présence militaire iranienne dans les Amériques.
Les pluies torrentielles record qui se sont abattues sur Sao Paulo durant le week-end du 18 au 19 février ont fait au moins 48 morts. Aux intempéries se sont ajoutés des glissements de terrain dévastateurs.
La marine brésilienne a annoncé le 3 février avoir coulé dans l’océan Atlantique l’ancien porte-avions Foch rempli d’amiante, de peintures et autres déchets toxiques, une décision critiquée par plusieurs organisations de défense de l’environnement.
Le ministre brésilien de la Justice a annoncé l’ouverture d’une enquête pour « génocide » après la publication de données officielles faisant état de la mort en 2022 d’une centaine d’enfants de moins de cinq ans dans le territoire indigène yanomami.
Le président brésilien Lula da Silva a démarré, lundi 23 janvier, une visite d’État en Argentine qui relancera la relation stratégique entre les deux premières économies sud-américaines, avant de participer à un sommet régional.
La purge au sein de l’armée brésilienne se poursuit deux semaines après une tentative de coup d’État par des partisans de l’ancien président Bolsonaro. Lula vient de limoger le chef de l’armée de terre.
Des Brésiliens ont exprimé leur refus de voir le drapeau israélien arboré pendant les émeutes au cours desquelles des partisans de Jair Bolsonaro, ancien président d’extrême-droite réfugiés aux USA, ont attaqué les trois sièges du pouvoir démocratique, dans la capitale brésilienne, dimanche dernier.
Rassemblés pour une manifestation devant le Congrès brésilien, des centaines de partisans de l’ex-président Jair Bolsonaro ont envahi l’édifice, mais également le palais présidentiel et la Cour suprême. Nombre de pays, y compris les USA, ont dénoncé le coup de force anti-démocratique. L’ancien président est sorti de son silence pour assurer qu’il n’avait rien à voir avec ces incidents.
Aziz Akhannouch, chef du gouvernement marocain, a représenté le roi Mohammed VI, dimanche 1er décembre à la cérémonie d’investiture du président brésilien, Luiz Inácio Lula da Silva.
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