Les marines chinoise, russe et iranienne organisent cette semaine des exercices militaires conjoints dans le golfe d’Oman, voisin du golfe d’Aden et de la Mer Rouge, où la coalition anglo-américaines mène un bras de fer avec le gouvernement yéménite de Sanaa.
Des experts maritimes soupçonnent un mystérieux navire de guerre iranien qui se déplace et navigue entre la mer Rouge et le golfe d’Aden de fournir aux yéménites les données qui les aident à déterminer les cibles de leurs attaques contre des navires, a rapporté le quotidien britannique Financial Times.
Hossein Amir-Abdollahian, ministre iranien des Affaires étrangères, a pris part, mardi, à la réunion ministérielle de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) à Djeddah en Arabie saoudite. Une occasion pour exprimer tout le fiel iranien vis-à-vis de l’Oncle Sam, soutien principal de la barbarie sioniste contre les Palestiniens.
Les conservateurs vont renforcer leur majorité au Parlement iranien, selon les résultats partiels des élections du 1er mars. Le Président Ebrahim Raïssi y a vu « un nouvel échec historique infligé aux ennemis de l’Iran ».
Le satellite iranien « Pars-I » a été lancé jeudi 29 février depuis la base de lancement russe de Vostotchny, à l’aide d’un lanceur russe Soyouz-2.1b. En janvier dernier, l’Iran avait également mis en orbite quatre satellites, dont un de recherche transporté par une fusée des Gardiens de la révolution.
L’Iran a condamné dimanche 25 février les frappes des États-Unis et du Royaume-Uni menées la veille sur des sites des rebelles houthis au Yémen, accusant Washington et Londres de « faire monter la tension et les crises » dans la région.
L’Iran a accusé, mercredi 21 février, Israël d’être responsable des explosions qui ont endommagé le réseau de distribution de gaz dans plusieurs régions du pays le 14 février.
Le ministère iranien de la Défense vient de dévoiler un système anti-missiles balistiques ainsi qu’un système de défense aérienne à basse altitude, renforçant ainsi les capacités de défense aérienne du pays dans un contexte régional tendu.
Les Deux explosions ont endommagé dans la nuit de mardi à mercredi le réseau de distribution de gaz en Iran, ont annoncé les autorités en dénonçant un acte « de sabotage et de terrorisme ».
Le chef de la diplomatie iranienne était à Damas pour rencontrer son homologue syrien et le président Bachar el-Assad le 11 février. Hossein Amir Abdollahian a déclaré que l’Iran ferait tout « pour arrêter le génocide à Gaza ».
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