Le parquet près le tribunal de première instance de Fès a décidé, début avril, de poursuivre en détention le rappeur et auteur de la chanson devenue virale « Kobi Atay », pour des faits d’« incitation par voie électronique à la prostitution de mineurs et à commettre un crime ou un délit ».
Depuis quelques mois, des associations de protection de l’enfance ont saisi la justice, qualifiant ce morceau d’inapproprié car incitatif au viol contre des filles mineures.