Après avoir sommé les membres du parti de ne faire aucune réaction, le secrétariat général du PJD n’a pas tardé à commenter la condamnation de Abdelali Hamieddine à trois ans de prison ferme, pour son implication dans l’assassinat de l’étudiant de gauche Ben Aïssa Aït El Jid, en 1993 à Fès.
Le groupe parlementaire du Parti de la justice et du développement (PJD) a indiqué que la présidence de la Chambre des représentants avait approuvé une demande émanant de la formation islamiste pour constituer un groupe porté sur la question palestinienne.
Le Parti Justice et Développement (PJD) a exprimé sa surprise quant à la décision du gouvernement d’allouer une somme considérable de 10 milliards de dirhams au programme visant à atténuer les effets du déficit pluviométrique. Ces subventions, dénonce-t-il, ne profiteront qu’aux grandes entités organisées et fédérations, notamment les grands exploitants, les paysans et l’agriculture d’exportation.
Shai Cohen, chef du bureau de liaison israélien à Rabat, a convié le groupement des députés du PJD à prendre part à la cérémonie de commémoration de la création de l’Etat d’Israël. Une démarche qui a déclenché la colère des islamistes.
Alors que la classe ouvrière célébrait, lundi, la fête du Travail, Abdelilah Benkirane, secrétaire général du Parti de la justice et du développement (PJD), en a profité pour critiquer l’échec du chef du gouvernement à tenir ses promesses et rejeter les efforts du ministre de la Justice pour légaliser les relations sexuelles hors mariage.
Le groupement du PJD à la Chambre des représentants a présenté une proposition de loi, interdisant aux binationaux d’être nommés ministres. L’initiative vise à modifier l’article 31 de la loi organique n°065-13 relative à l’organisation et à la conduite des travaux du gouvernement et au statut de ses membres, adoptée par l’exécutif que présidait Abdelilah Benkirane.
Le Parti de la justice et du développement (PJD) au Maroc a déploré l’arrestation, mardi, de Rached Ghannouchi, leader de la formation islamiste tunisienne Ennahda, après que la police a perquisitionné les locaux de l’instance à Tunis et le domicile du concerné et la justice aie ordonné la fermeture de tous les locaux de ladite formation.
Le secrétariat général du Parti de la justice et du développement (PJD) a exprimé, samedi, sa « profonde préoccupation quant au mécontentement populaire croissant face à la manière dont le gouvernement traite la détérioration continue des conditions sociales et de vie des citoyens ».
Le Parti de la justice et du développement (PJD) a fustigé le gouvernement, l’accusant d’« entraver » l’organisation des élections du Conseil national de la presse. Pour la formation islamiste qui s’active dans l’opposition, « ce qui se passe est le titre d’un échec lamentable du gouvernement ».
L’inflation qui prend de l’ampleur au Maroc a poussé le PJD à réagir. Ainsi, les élus de la formation dirigée par Abdelilah Benkirane veulent entendre les explications et du patron de la Banque centrale et de la ministre des Finances.
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