Médias

Figure historique de la radio sur Medi1 puis de la télévision sur 2M, Omar Salim est décédé à Casablanca, lundi 17 juillet, apprend-t-on auprès de ses proches. Victime d’un choc cardiaque il y a quelques jours de cela, le défunt confrère a été admis en réanimation.

Une chaîne d’information en anglais verra le jour au Maroc, où la chaîne publique Al Aoula au sein de la Société nationale de radiodiffusion et de télévision (SNRT) travaille sur le projet, a révélé Mohamed Mehdi Bensaïd, ministre de la Jeunesse, de la culture et de la communication.

A l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, célébrée mercredi 3 mai, le bureau politique du Parti du progrès et du socialisme (PPS) s’est arrêté, mardi lors de sa réunion hebdomadaire, sur les acquis et les contraintes les plus importantes du domaine des médias nationaux, sous toutes ses formes.

L’Organisation démocratique de la presse et des médias, affiliée à l’Organisation démocratique du travail (ODT), a indiqué que la Journée mondiale du travail, célébrée annuellement le 1er mai à travers le monde, intervenait cette année dans un contexte difficile que traverse le secteur.

Le journaliste et animateur de 2M, Brahim Sallaki est décédé, dimanche à l’âge de 64 ans après une longue lutte contre la maladie, a annoncé la deuxième chaîne sur son compte Twitter.

Clivante, la solution envisagée par le gouvernement pour réguler le secteur de la presse, l’est à plus d’un titre. Si le blocage du renouvellement du Conseil National de la Presse renvoie à une situation rentière, il n’en reste pas moins que le processus de déblocage, envisagé par l’Exécutif, est entaché, lui, d’irrégularités flagrantes en terme ne serait-ce que du respect des prescriptions de la loi fondamentales du pays. La profession qui se meurt est plus divisée que jamais autour du devenir d’un organe de régulation. Triste tableau que celui que résume cette guerre des égos qui occulte le véritable enjeu lié, lui, au sort d’un métier gangréné par des nuées de parasites.