La résistance au Liban en tête desquels se place le Hezbollah renforce le mouvement Hamas et apporte le soutien nécessaire à toutes les composantes de la résistance palestinienne qui tiennent tête, dans la bande de Gaza, à un ennemi mieux outillé que toutes les armées de la région grâce aux largesses américaines et aux soutiens européens.
Les Brigades al-Qassam ont revendiqué une opération depuis le sud du Liban en direction d’un siège militaire israélien dans la colonie de Kiryat Shmona. Le bras militaire du Hamas a indiqué avoir tiré une salve de roquettes en direction du SG de la Brigade Est 769-Camp Guibor, « en riposte aux massacres israéliens perpétrés à Gaza la patiente, et en Cisjordanie, la révoltée ».
Le Hezbollah a visé, samedi matin, de nouveaux attroupements des soldats de l’occupation dans la colonie de Chomera. D’autres opérations ont suivi après, dont une d’ampleur engageant des missiles guidées et des drones kamikaze contre un casernement du corps d’élite israélien Golani.
Le Hezbollah a annoncé jeudi soir que ses combattants ont tendu, à 23h10, une embuscade complexe à un convoi israélien, près du site de Rouweisat al-Alam, dans les collines libanaises occupées de Kfarchouba (fermes libanaises occupées de Chebaa).
Le Hezbollah a annoncé avoir mené plusieurs opérations en soutien à Gaza et en riposte aux agressions israéliennes contre les habitations civiles au sud-Liban. Des roquettes ont été tirées, jeudi, depuis le sud du Liban en direction de la localité d’Arab al-Aramcha. Dans la journée, trois opérations ont été signalées contre des sites de l’armée sioniste et des rassemblements de soldats israéliens.
Après 200 jours à l’opération Déluge d’Al-Aqsa, le Hezbollah a publié sur sa chaine Telegram une infographie rendant compte du total des opérations menées par les forces de résistance libanaise, yéménite et irakienne en soutien au peuple et à la résistance palestinienne à Gaza.
C’est l’escalade ! La Résistance islamique a mené mardi « une attaque aérienne composée » sur des positions militaires israélienne, au nord de la ville occupée de Akka, à 15 km de la frontière libanaise, en riposte à l’élimination de l’un de ses combattants.
L’interception d’un drone israélien de type Hermès 450 par le Hezbollah met à rude épreuve les nerfs des gradés israéliens. Et pousse les journalistes à s’interroger sur la supériorité aérienne militaire israélienne au Liban. Il s’agit en effet du 4è drone du genre à être abattu par la résistance libanaise depuis le 8 octobre, date à laquelle le Hezbollah a démarré ses opérations militaires le long de la frontière avec la Palestine occupée en soutien à Gaza.
Les mortels combats à distance entre le Hezbollah et l’entité sioniste a pris une autre tournure mercredi. En effet, l’armée israélienne a reconnu qu’au moins 15 de ses soldats ont été blessés, dont 6 dans un état jugé désespéré, lors du raid d’un drone kamikaze lancé contre un bâtiment qui abrite depuis peu les services de renseignements sionistes déployés à la frontière avec le Liban.
Le Hezbollah a annoncé mardi avoir mené une attaque aérienne, à l’aide de drones d’attaque, contre deux lots en direction de Beit Hillel. Et la résistance libanise de préciser que les drones « ont visé le système de défense antimissile et frappé les plateformes du Dôme de fer et les membres de son équipe, les tuant et les blessant ». L’armée sioniste a déclaré enquêter sur les raisons pour lesquelles les sirènes n’avaient pas retenti pendant l’attaque.
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