Les autorités marocaines, en la personne de l’ambassadrice du Royaume à Berlin, Zohour Alaoui, ont déposé, lundi en Allemagne, une demande d’injonction contre la maison d’édition du journal « Süddeutsche Zeitung », concernant « de fausses allégations dans le cadre d’un article de presse à propos de l’utilisation présumée du logiciel espion « Pegasus » par le Royaume du Maroc ».
Sur fond de croissance explosive de la cybercriminalité dans le monde, la Russie a soumis à l’Onu un projet de convention afin de lutter contre. «Il faut en débattre non pas au sein du cercle étroit des États technologiquement développés, mais avec tous les États de l’Onu», a insisté un diplomate russe.
La société de capital-investissement Novalpina, propriétaire du groupe israélien NSO au centre d’un scandale d’écoutes, va être dissoute, rapporte l’AFP qui cite une source proche du dossier.
Le Maroc attaque devant la justice française les médias responsables de la publication d’accusations sur des allégations d’espionnage via le logiciel Pegasus commercialisé par NSO Group. Le Monde,Mediapart et consorts n’ont apporté aucune preuve de leurs accusations, affirme-t-on à Rabat.
A l’initiative du Parti de l’authenticité et de la modernité (PAM), la Commission des Affaires étrangères, de la défense nationale, des affaires islamiques et des MRE devrait tenir une réunion, pour aborder «la vérité de ce qui est diffusé dans certains milieux et dans la presse étrangère sur l’espionnage à travers le programme Pegasus».
Andrés Manuel López Obrador s’est exprimé le 21 juillet au siège de la présidence du Mexique, face à la presse, sur les pratiques présumées d’espionnage
Lors d’entretiens accordés cette semaine au Washington Post, plusieurs anciens et actuels responsables de sécurité ont déclaré qu’ils présument que la société, fondée par d’anciens
Le scandale lié à Pegasus a fait réagir les autorités marocaines. Un communiqué transmis à l’AFP, relayée par Europe1, précise que «le royaume du Maroc
La responsable onusienne a estimé que«les révélations concernant l’utilisation apparemment généralisée du logiciel Pegasus pour espionner les journalistes, les défenseurs des droits humains, les politiciens
La nouvelle enquête d’envergure publiée par Le Monde du 18 juillet, accompagné en cela par 16 autres médias dans un consortium, révèle qu’un logiciel espion
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