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Stress hydrique

Stress hydrique : Le CESE sonne le tocsin…

A l’heure où l’Intérieur mobilise l’administration territoriale et que des régies communiquent sur les perturbations à prévoir au niveau de l’alimentation des foyers en eau potable, El Jadida donne le ton, voilà que le Conseil économique, social et environnemental se joint à la mobilisation en tirant la sonnette d’alarme. La note succincte, mais expressive, retrace ci-après un état des lieux des plus alarmants.

Pénurie de l’eau : Un congrès mondial chez les agronomes en herbe

Pour sa 65e édition, l’IAAS Maroc, placé sous la tutelle du ministère de l’Agriculture, de la pêche maritime, du développement rural et des eaux et forêts organise du 24 juillet au 7 août, le Congrès Mondial des étudiants en agriculture à l’Institut agronomique et vétérinaire Hassan II sur la thématique de «la pénurie de l’eau et ses effets sur la sécurité alimentaire».

Asphyxie de l’embouchure de l’Oum Errabia : Une mission parlementaire, enfin, constituée

La Chambre des représentants devait donner, lundi, son feu vert à la mission parlementaire temporaire devant enquêter sur «l’état de l’embouchure d’Oum Errabiâ», avec notamment la désignation des membres qui la composent et de son rapporteur. Cette mission coïncide avec la dénonciation par les habitants d’Azemmour du niveau de pollution de l’embouchure de la rivière depuis qu’Oum Errabiâ ne se jette plus dans l’Atlantique.

Stress hydrique : Qui sont les voleurs de l’eau ?

Nizar Baraka, ministre de l’Equipement et de l’Eau, a souligné que la situation de l’eau au Maroc est « préoccupante », et a annoncé que le gouvernement élabore actuellement un plan pour trouver une solution au déficit hydrique. Le responsable qui n’a pas pipé mot des impératifs du développement durable a plutôt choisi la voie de la surenchère en dénonçant le vol de l’eau. Assurément, à plus ou moins long terme, il ne restera plus grand-chose à voler dans le Royaume. Ce qui ne manquera d’inciter les politiques à davantage pomper l’air…

Stress hydrique : Les Marocains face à la pénurie d’eau potable

Les dernières pluies bienfaitrices ne doivent pas occulter le caractère irrémédiable de la pénurie d’eau que le pays est appelé à vivre. La solution préconisée reste liée au dessalement de l’eau de mer dont le coût est évalué à 2,5 Dh le mètre cube, comme cela est confirmé depuis Dakhla. Tel est le message véhiculé par le ministère de l’Equipement et de l’eau.

Rationaliser la consommation de l’eau à Casablanca : Ce que propose Lydec

Lydec, gestionnaire délégué, a dévoilé mercredi un plan d’actions détaillé visant à gérer la pénurie d’eau dans le périmètre du Grand Casablanca pour inciter les clients, toutes catégories confondues, à rationaliser leurs consommations en eau. Aucune indication n’a été faite cependant sur le possible recours aux coupures d’alimentation.

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