Hassan Nasrallah, leader du Hezbollah, a affirmé que « les répercussions de ce qui se passe aujourd’hui en Russie et en Ukraine sont dangereuses pour le monde, et la situation est ouverte à toutes les possibilités ».
L’armée israélienne a fait preuve d’une grande incapacité à neutraliser le drone « Hassan » qui, lancé par le Hezbollah depuis le Liban, a survolé le nord de la Palestine occupée vendredi, plusieurs minutes durant. Pour dissiper l’inquiétude de l’opinion israélienne, l’armée qui a mobilisé un intercepteur de ses forces aériennes, assure avoir « laissé faire »…
Le dernier discours du secrétaire général du Hezbollah a eu des échos dans les médias israéliens. Hassan Nasrallah avait fait des révélations sur les capacités militaires dont est doté le Hezbollah, fer de lance de la résistance libanaise.
Hassan Nasrallah, a assuré qu’Israël est en phase de déclin et en voie d’extinction. C’était à l’occasion de la journée de commémoration du martyre des trois commandants de la résistance islamique. Le leader du Hezbollah n’a pas manqué de rappeler, à cette occasion, la montée en puissance de la résistance désormais capable de transformer ses missiles en vecteurs de précision et de « vendre » des drones… De quoi susciter l’inquiétude chez les Israéliens.
Dans une interview exclusive accordée à la chaîne de télévision iranienne en langue arabe Al-Alam, Hassan Nasrallah, Secrétaire général du Hezbollah libanais, a fait des révélations qui suscitent l’inquiétude des sécuritaires israéliens. Il en va ainsi du système de défense aérienne désormais entre les mains de la résistance.
Naïm Qassem, secrétaire général adjoint du Hezbollah, a lancé une mise en garde à l’ambassade US, à Beyrouth, en dénonçant contre ses ingérences dans les affaires libanaises et qui rappellent l’attitude des pays colonialistes.
Les drones fabriqués par l’Iran et fournis au Hezbollah sont devenus une nouvelle source d’inquiétude de l’entité sioniste.
Le Hezbollah a condamné fermement la décision des autorités australiennes le désignant comme organisation terroriste. Une position qui rejoint celle décidée depuis Londres et qui cible, elle, le Hamas palestinien.
Et Michel Aoun, président libanais, a exclu en outre la tenue des élections législatives au Liban le mois de mars. Répondant aux questions du quotidien libanais al-Akhbar, il a assuré qu’il n’est pas question pour lui d’assiéger le Hezbollah et relevé que les relations avec l’Arabie saoudite devraient être « institutionnalisées ».
Des responsables israéliens ont demandé, mardi 16 novembre, à l’ambassadrice américaine aux Nations Unies, Linda Thomas-Greenfield, de conditionner toute aide américaine au Liban à des restrictions imposées au Hezbollah.
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