Coup dur pour l’establishment émirati. Mohammed ben Rached al-Maktoum, l’émir de Dubaï, est dans le viseur de la justice britannique. Il a autorisé le piratage du téléphone de son épouse la princesse Haya de Jordanie et de ceux de ses avocats britanniques, a jugé mercredi la Haute cour de Londres.
Huit membres de la mission russe auprès de l’Otan seront privés d’accréditation, a confirmé à Sputnik un représentant de l’Alliance. Il s’agit d’agents de renseignement non déclarés…
La CIA a averti ses agents à l’étranger que beaucoup d’informateurs recrutés pour espionner pour les États-Unis avaient été tués, capturés ou compromis ces dernières années, relate le New York Times.
Le célèbre prestataire ExpressVPN a reconnu avoir été au courant des activités de l’un de ses directeurs condamné pour espionnage au profit d’Abou Dhabi. L’entreprise assure qu’il a été recruté pour aider à protéger la vie privée de ses utilisateurs.
Les forces de sécurité iraniennes ont démantelé une cellule terroriste aux ordres d’agences d’espionnage étrangères, a annoncé mercredi le ministère du Renseignement dans un communiqué.
Alors que des agents américains sont poursuivis pour avoir prêté leurs services à Abou Dhabi, les Emirats arabes unis se retrouvent au cœur d’un scandale en ayant livré les données des étrangers établis dans l’Emirat à Israël. L’effet Pegasus n’a plus de limite…
Le tribunal de district d’Alexandria, en Virginie, a condamné mardi l’ancien analyste du renseignement de l’Air Force, Daniel Hale, à près de quatre ans de prison, a rapporté le site ResponsibleStatecraft.
Apple a dû réparer en urgence une faille informatique que le logiciel espion Pegasus était capable d’exploiter pour infecter les iPhone malgré la vigilance des utilisateurs.
La police fédérale allemande a acquis le logiciel d’espionnage Pegasus, affirment plusieurs médias allemands. Les officiels clament s’en être tenus à une version limitée du programme.
Le Liban a de quoi rester une énigme. D’après le site d’information The Cradle, les services de renseignements britanniques ont infiltré les services de sécurité libanais à partir de l’an 2008. Une révélation qui a de quoi soulever nombre de questions quant aux vulnérabilités du pays du Cèdre dont d’aucuns mesurent la force par sa faiblesse.
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