Le Kremlin a affirmé qu’Evan Gershkovich, reporter au WSJ, avait été pris « en flagrant délit » d’espionnage et a mis en garde Washington contre toute forme de représailles contre les médias russes travaillant aux États-Unis.
Une entreprise clandestine israélienne, spécialisée dans la manipulation électorale notamment par les réseaux sociaux, a été recrutée pour influencer des dizaines d’élections dans le monde, particulièrement en Afrique, assure le collectif de journalistes d’investigation Forbidden Stories.
Condamné à la peine capitale pour espionnage au profit de l’agence de renseignement britannique, Ali Reza Akbari, ancien responsable iranien, a été pendu.
La Cour suprême des États-Unis a donné son feu vert pour l’engagement d’un procès contre le groupe israélien NSO, à l’origine du logiciel espion Pegasus. La société NSO a été attaquée en justice par Meta, la maison mère de WhatsApp. NSO avait profité d’une faille de sécurité dans cette messagerie pour pirater des milliers de téléphones portables. Et a saisi la plus haute juridiction US pour demander l’annulation de ces poursuites, sans succès.
A Athènes, les locaux d’une entreprise israélienne à l’origine du logiciel espion Predator, ont été visités par la police grecque, selon la presse locale. Cette opération intervient dans le sillage d’enquêtes sur un scandale d’écoutes téléphoniques qui a tenu en haleine la Grèce ces derniers mois.
Une étude dévoilée fin octobre sur le site MintPress révèle que des centaines d’anciens agents de l’organisation d’espionnage israélienne, Unité 8200, ont obtenu des postes d’influence dans plusieurs des plus grandes entreprises technologiques du monde, notamment Google, Facebook, Microsoft et Amazon.
En Espagne, le Centre national du renseignement (CNI) a écarté l’hypothèse selon laquelle le Maroc aurait pu utiliser des données «violées» du téléphone de Pedro Sanchez, chef de la coalition au pouvoir.
La télévision iranienne a confirmé mardi 17 mai que les deux espions européens arrêtés par le ministère iranien de la Sécurité étaient de nationalité française.
En Espagne, le Parti populaire (PP) cherche à exploiter les révélations concernant le ciblage des téléphones de deux ministres du gouvernement ibérique et son chef par le logiciel Pegasus, pour fragiliser la coalition aux affaires.
Après la révélation du vaste espionnage de personnalités politiques, dont le Premier ministre Pedro Sanchez, par le logiciel israélien Pegasus, Paz Esteban, directrice du renseignement espagnol a été mise à l’écart.
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