Un interprète irakien ayant travaillé pour l’armée américaine et participé à la capture de Saddam Hussein en a livré des détails à Sputnik. Selon lui, les Américains ont utilisé un gaz soporifique pour l’arrêter. Sa tête mise à prix, les délateurs de l’ancien homme fort de Bagdad n’ont récolté que du… vent !
Le Comité de coordination de la résistance irakienne, instance qui compte parmi ses rangs les différentes factions combattantes en Irak, dont le Hachd al-Chaabi, considère que les Etats-Unis ne comptent pas retirer leurs forces de leur pays. Et pour changer la donne, il faudra les obliger à partir, assure-t-il.
La coalition irakienne Al-Fatah a annoncé son refus d’admettre la présence des forces américaines non combattantes à des fins de formation ou de conseil dans le pays après la fin de cette année.
Alors que les Américains décident de retirer leurs troupes combattantes d’Irak avant le 31 décembre, c’est vers la Syrie qu’elles ont choisi de se replier.
Les parties irakienne et iranienne impliquées dans l’enquête de l’assassinat par les Américains du général Qassem Soleimani et d’Abou Mahdi al-Mohandis continuent à travailler en vue de traduire les coupables de cet assassinat devant la justice.
A l’heure où le pouvoir irakien annonçait la fin des opérations militaires des forces coalisées par les USA en Irak et la rétrocession de la base Aïn Al Assad à l’armée irakienne, deux roquettes ont été tirées tôt dimanche sur la Zone verte fortement fortifiée qui abrite l’ambassade américaine dans le centre de Bagdad, a rapporté l’agence de presse irakienne (INA).
A 20 jours de la date butoir du retrait des forces américaines d’Irak, rien n’augure qu’elles vont réellement se retirer. Il semble que c’est seulement leur mission qui va changer. Comme en attestent les déclarations des responsables irakiens qui rendent acte de « la fin de leur mission de combat », de sa mutation en une mission de « conseils et de formation », tout en restant circonspects sur le chiffre des effectifs qui vont rester sur place.
Les forces de sécurité irakiennes ont annoncé mardi dans un communiqué qu’au moins quatre civils ont été tués et quatre autres blessés dans l’explosion d’une moto piégée près d’un hôpital dans le centre de Bassora, grande ville du sud de l’Irak.
Les autorités sécuritaires irakiennes ont annoncé avoir démantelé le réseau d’espionnage « le plus dangereux » actif dans le pays. Ce dernier se livrait, depuis la ville de Karbala, au piratage des données sécuritaires.
Le Hezbollah d’Irak a estimé que Moustafa al-Kazimi, Premier ministre irakien, n’a plus aucun espoir pour un nouveau mandat, l’accusant de « jouer avec la sécurité irakienne et de vouloir réaliser ses objectifs à travers un scénario fabriqué », en allusion à l’attaque perpétrée dimanche dernier contre sa maison.
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