Ebrahim Raïssi, qui a pris ses fonctions cette semaine, a nommé dimanche comme premier Mohamed Mokhber, vice-Président et directeur d’une puissante fondation parapublique sanctionnée par les États-Unis, selon le site internet de la présidence.
Comme attendu, le discours très attendu de Hassan Nasrallah, cherche à remettre les pendules à l’heure de la confrontation avec Israël. Le secrétaire général du Hezbollah, a assuré que «la résistance ripostera sans doute à chaque nouveau raid israélien contre le Liban ». Toute l’étendue de la Palestine occupée sera ciblée en cas de représailles. Les observateurs israéliens ont réagi en constant l’érosion continue de la dissuasion brandie par Tel-Aviv. Autant dire que les missiles du Hezbollah ne vont pas rouiller…
Le général de division Abu al-Fadl Chakarji, porte-parole des forces armées iraniennes, a affirmé que « si l’Iran décide d’affronter les ennemis, il le fera et l’annoncera clairement comme il l’a fait à Aïn al-Assad », en allusion à la base US à l’ouest d’Irak que l’Iran avait bombardé pour venger l’assassinat du général Qassem Soleimani, chef de la force al-Qods des gardiens de la révolution, tué dans un raid américain, le 3 janvier 2020.
Les Talibans se sont emparés vendredi de la ville de Zaranj, dans le sud-ouest de l’Afghanistan, à la frontière avec l’Iran, première capitale provinciale à tomber entre leurs mains depuis le début de leur offensive en mai, a annoncé une responsable locale.
Une source de sécurité iranienne a accusé le Mossad israélien d’avoir transféré depuis environ un mois des équipements de pointe aux Émirats arabes unis, dans le but de perturber les réseaux de communication et les systèmes de navigation maritime et aérien dans la région du Golfe.
L’Iran est en mesure de se doter d’une arme nucléaire d’ici dix semaines, c’est ce qu’a prétendu mercredi dernier Benny Gantz, ministre israélien de la guerre.
Ebrahim Raïssi a prêté serment devant le Parlement iranien. Le nouveau président de la République islamique d’Iran entend redresser une économie minée par les sanctions, sans pour autant céder à la «pression» exercée par les Occidentaux. La feuille de route telle que tracée par le patron de l’Exécutif, affublé du titre « conservateur », en dit long sur ce qui suivra.
Téhéran a dénoncé, mercredi 4 aout, la guerre médiatique qui blâme l’Iran pour le détournement d’un pétrolier au large de la mer d’Oman. La « guerre psychologique » n’est-elle pas le prélude à la guerre tout court ? Les autorités iraniennes se disent « inquiets » du climat qui règne dans la région tout en affirmant leur pleine disposition à croiser le fer le cas échéant.
La cérémonie de validation de la 13ème élection présidentielle iranienne qui a donné lieu à la victoire d’Ebrahim Raïssi s’est déroulée mardi 3 juillet, à la Hosseiniyeh de l’imam Khomeini de Téhéran en présence du leader de la Révolution islamique, du président sortant et du chef du pouvoir judiciaire ainsi que des responsables politiques et militaires du pays. E. Raïssi, taxé de « faucon », remplacera donc le déclaré « modéré » Hassan Rohani.
YairLapid, ministre israélien des Affaires étrangères, a dit vouloir porter devant l’ONU l’affaire de l’attaque contre un pétrolier géré par une société détenue par un milliardaire israélien, qui a fait deux morts parmi l’équipage en mer d’Oman et que l’entité sioniste impute à l’Iran.
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