Une baisse sensible des contaminations au nouveau coronavirus a été signalée au cours des dernières heures. Faut-il pour autant prédire la fin de l’angoisse qui s’est saisie du pays depuis le début de la pandémie ? Rien n’est encore sûr…
L’ambassadeur du Maroc aux Nations Unies a retoqué les Algériens sur le sujet des violations des droits de l’Homme débattu lors du séminaire du C24 à la Dominique. Il a rappelé à la délégation algérienne un proverbe africain fort révélateur : « ne pas jeter de pierres sur le voisin quand ta maison est de verre ».
Le tribunal fédéral suisse a rendu récemment un arrêt rejetant le recours déposé par un réfugié Pro-Polisario. Ce dernier a contesté la décision des autorités suisses refusant désormais de faire apparaître la «République arabe sahraouie démocratique» sous la rubrique «nationalité», lors du renouvellement de son permis de «réfugié».
Les autorités locales et les services de sécurité de Laâyoune ont mené ces deux derniers jours une opération de sauvetage de candidats à la migration irrégulière originaires d’Afrique subsaharienne, en plus de l’avortement d’une tentative d’immigration.
Les forces de sécurité espagnoles et marocaines ont empêché, aux premières heures de ce samedi, une tentative d’entrée irrégulière de 350 migrants subsahariens à Melilla par la frontière qui sépare la ville espagnole de la ville marocaine de Beni Ansar.
La pandémie représente toujours un souci majeur pour les responsables au regard des contaminations, comme des décès engendrés. La vaccination de masse reste, donc, prioritaire et décision a été pise d’élargir le processus à la population de la tranche d’âge entre 12 et 17 ans.
La présidence du Ministère public a déclaré la tolérance zéro aux fraudes touchant les documents sanitaires relatifs à la Covid-19 (pass vaccinal et test PCR).
Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, a nommé le Russe Alexander Ivanko en tant que représentant spécial pour le Sahara et chef de la MINURSO.
La Mauritanie s’est dite «profondément préoccupée» par la rupture de l’Algérie de ses relations avec le Maroc. La position exprimée jeudi par Ismail Ould Cheikh, ministre des Affaires étrangères, a reconnu que la région maghrébine fait face à une «crise», pointant du doigt «les problèmes entre les frères algériens et marocains dans la paralysie de l’Union du Maghreb».
Les chefs de plusieurs partis politiques ont déploré la «décision unilatérale et inappropriée» des autorités algériennes de rompre les relations diplomatiques avec le Maroc, jugeant nécessaire de préserver les liens historiques unissant les deux peuples frères.
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