La DGAPR indique dans un communiqué qu’ « en dépit de la publication par la direction de la prison locale de Tiflet 2, en date du 13 juin 2023, d’une mise au point concernant les allégations du père du détenu Omar Radi, emprisonné dans ledit établissement sur une affaire de droit public, l’organisation française Reporters Sans Frontières (RSF) s’est entêtée à fourrer son nez dans le dossier en reprenant les mêmes allégations sur son site Internet, sans prendre en compte la mise au point de l’établissement pénitentiaire ».
Ce faisant, poursuit la même source, RSF « dévoile sa mauvaise foi délibérée et son hostilité flagrante envers le Royaume, même s’il s’agit d’une affaire de droit commun qui n’a rien à voir avec la liberté de la presse dont elle se targue de défendre ».
« Nul n’ignore l’idéologie d’extrême-droite du fondateur et ancien président de cette organisation, la nature des liens et des parties qui manipulent le représentant de cette organisation en Afrique du Nord et son animosité avérée à l’égard du Maroc », rappelle la DGAAR, avant de conclure que RSF est « devenue impartiale dans son traitement de toutes les questions liées au Maroc et n’est point qualifiée, ni moralement ni professionnellement, pour donner des leçons au Royaume en matière des droits de l’Homme ».
« La persistance à propager les contre-vérités sur l’affaire du détenu précité, parallèlement aux tentatives de certaines parties internes de se faire prévaloir du soutien d’organisations étrangères dénuées de toute crédibilité, n’empêchera pas la DGAPR d’assumer pleinement sa mission d’application de la loi dans l’ensemble des établissements pénitentiaires et sur un pied d’égalité entre tous les détenus, tout en continuant à informer l’opinion publique chaque fois que cela est nécessaire afin de dévoiler et de dénoncer les allégations mensongères visant à nuire à l’image du secteur et à la réputation du Maroc en matière de droits de l’Homme, à l’intérieur comme à l’étranger », conclut le communiqué.