« Libérez la vérité ». C’est ce qui est écrit sur les lanternes et les parapluies blancs brandis par les soutiens de J. Assange. Certains portent un masque représentant son visage. Sa femme Stella Morris se tient en début de cortège, devant elle, quelqu’un est déguisé Lady Justice et ouvre la voie.
L’année dernière, une chaîne humaine entourait le Parlement britannique pour alerter sur le sort du journaliste.
En juin dernier, l’extradition du fondateur de Wikileaks a été approuvée. Ses avocats tentent tous les recours possibles, mais ses chances de rester sur le territoire britannique s’amenuisent.