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Cinéma africain : Le Maroc présent au FESPACO

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C’est la productrice tunisienne Dora Bouchoucha qui présidera le jury qui décernera l’Étalon d’or, récompense suprême du cinéma africain, lors de cette édition. En total, le Fespaco a visionné 1 200 films. 170 films de cinéma et de télévision et des séries ont été sélectionnés sous la direction d’Alex Moussa Sawadogo, délégué général du Festival pour les onze catégories de cette année.
Le Maroc présent au FESPACO

« La production existe. Elle est forte, elle est dynamique. C’est comme la République dominicaine qui a réussi cette année d’entrer en compétition avec un film qui est très fort, ou un pays comme Angola qui n’a pas été depuis longtemps en compétition. Donc, il y a des premières mondiales, ce qui était rare à un certain moment, mais le comité de sélection du Fespaco a fait un travail de fourmis pour vous pouvoir présenter des pépites à cette 28e édition. » Selon A.M. Sawadogo, il s’agira de réfléchir sur comment le cinéma peut contribuer à la culture de la paix, à la réconciliation entre les peuples du monde.  « Il est important pour le Burkina Faso d’organiser cet évènement. Depuis la création du Fespaco en 1969, il n’y avait jamais de rupture. Nous sommes fiers de savoir que nos autorités nous accompagnent pour la sécurisation du Fespaco. »

Parmi les films choisis pour la section phare des longs métrages se trouvent des œuvres d’originaires du Cameroun, de la Tunisie, du Burkina Faso, du Sénégal, de l’Égypte, du Nigeria, du Mozambique, d’Angola, du Kenya, de l’Ile Maurice, du Maroc, de l’Algérie et de la République dominicaine.

Dans la liste des films retenus pour briguer l’Étalon d’or du Yennenga, on trouve « La plantation des planteurs », de Dingha Eystein Young (Cameroun), « Mon père, le diable », d’Ellie Foumb (Cameroun), « Ashkal », de Youssef Chebbi (Tunisie), « Under the fig trees », d’Erige Sehiri (Tunisie), « Sira », d’Appoline Traoré (Burkina), « Abu Saddam », de Nadine Khan (Égypte), « Bantú Mama », de Ivan Herrera (République dominicaine), « Mami Wata », de C. J. « Fiery » Obasi (Nigeria), « Maputo Nakuzandza”, d’Ariadine Zampaulo (Mozambique), « Our lady of the Chinese Shop”, d’Ery Claver (Angola), « Shimoni », d’Angela Wamaï (Kenya), « Simin Zetwal/Regarde les étoiles », de David Constantin (ile Maurice), « The Blue Caftan/Le bleu du Caftan », de Maryam Touzani (Maroc), « The Last Queen/ La dernière reine », de Damien Ounouri (Algérie) et « Xalé, Les blessures de l’enfance », de Moussa Séné Absa (Sénégal).

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