Gaza

La ville de Haifa a été plongée partiellement dans le noir ce samedi après les puissantes attaques aux missiles lancés par le Hezbollah. Dans la journée, l’armée sioniste a lancé plusieurs raids contre la banlieue sud de Beyrouth, bastion de la résistance islamique, outre la ville de Saida. Deux bases militaires israéliennes ont été ciblée par des missiles et les drones de la résistance libanaise. Et un char Merkava a été détruit par un missile guidé à la frontière palestino-libanaise.

Au 407e jour du conflit, le ministère de la santé dans la bande de Gaza fait état, dans son bilan des victimes du génocide israélien, de « 43 799 morts et 103 601 blessés. » Dans un communiqué ad hoc, il a précisé que l’armée sioniste a perpétré « trois carnages contre des familles gazaouies au cours des dernières 24 heures, qui ont fait au moins 35 morts et 111 blessés », tout en relevant que « plusieurs victimes toujours ensevelies sous les décombres et jonchant les routes, les ambulances et les équipes de la protection civile n’ayant pas parvenu à les atteindre. »

Plusieurs attaques contre des positions israéliennes à Eilat et dans le nord de l’entité sioniste ont été revendiquées par la résistance irakienne. Cette dernière assure avoir mené ces opérations « en réponse aux massacres commis par l’entité usurpatrice contre les civils » au Liban et à Gaza. On assiste ainsi à une intensification des opérations anti-israélienne depuis ce front à l’heure où un échéancier a été convenu entre Bagdad et Washington pour le retrait, en deux temps, des soldats US toujours déployés en Irak.