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Ces accords, dont la valeur dépasse 8 milliards de dollars, selon Dong Guangli, ambassadeur de Chine à Alger, témoignent des relations économiques soudées entre…
En Algérie, la presse privée, -(pas tant que ça !)-, est unanime à condamner les projets d’investissements publics français projetés au Sahara marocain. Plusieurs médias ont condamné des « déclarations provocatrices, dangereuses et inédites » de Frank Riester, ministre du Commerce extérieur, lors de sa visite au Maroc. L’affaire est d’importance puisqu’une visite d’Abdelmajid Tebboune est programmée à Paris.
Le Maroc représente un point de fixation pour le régime algérien. Abdelmadjid Tebboune a abordé, dans une rencontre avec la presse algérienne, le projet initié par l’Algérie d’un Maghreb excluant le Maroc. Le royaume était fortement présent dans les passages consacrés à ce projet lancé le 3 mars à Alger. Comme la question du Sahara occidental.
Abdelkader Bengrina, chef du mouvement islamiste algérien El Bina, a appelé Antonio Guterres, secrétaire général des Nations unies, à interdire l’exercice militaire « African Lion 2024 » coorganisé par les armées du Maroc et des Etats-Unis.
Après le coup d’envoi donné, le 3 mars à Alger, de la formule du Maghreb sans le Maroc, l’Algérie justifie son projet, rapportent des médias algériens apportent plus d’éclaircissements sur le choix du voisin de l’Est de se débarrasser des diktats de l’histoire, comme de la géographie. « L’Union du Maghreb Arabe (UMA) est dans le coma », a déclaré à la presse Ahmed Attaf, ministre algérien des Affaires étrangères.
Ahmed Attaf, ministre algérien des Affaires étrangères, a souligné mardi, lors d’u, point de presse organisé à Alger, que la question du Sahara n’est pas close.
A l’heure où l’Algérie s’affaire à isoler le Maroc sur le plan maghrébin, Nasser Bourita, ministre des Affaires étrangères, s’est entretenu, mercredi 6 mars, en marge de la 161ème session du Conseil exécutif de la Ligue arabe au Caire, avec Mohamed Salem Ould Merzoug, son homologue mauritanien.
La capitale algérienne a accueilli, dimanche 3 mars, un sommet maghrébin tripartite. Abdelmadjid Tebboune était entouré de Kaïs Saïed, président de la Tunisie, et Mohamed Younes El-Menfi, président du Conseil présidentiel libyen. Ni le Maroc, ni la Mauritanie n’ont été de la partie. Un « Maghreb à trois », noyau voulu par la formation islamiste tunisienne Ennahda, peut-il se réaliser en sacrifiant les autres composantes de l’espace régional ?
La récente visite de Pedro Sanchez au Maroc, le 21 février, semble crisper davantage les relations entre l’Espagne et l’Algérie. C’est du moins ce que confient des « sources gouvernementales algériennes » à El Independiente.
Dans le droit file du réchauffement des relations entre Rabat et Paris, l’investissement français au Maghreb est relancé. Il y va ainsi de la nouvelle session des consultations politiques entre l’Algérie et la France ont été tenues mardi sous la présidence des secrétaires généraux des ministères des Affaires étrangères des deux parties. F
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