« Ces manœuvres, prévues du 20 au 31 mai 2024, constituent une agression illégitime contre des territoires appartenant à la souveraineté du Sahara occidental. Ces opérations sont une violation du principe d’autodétermination que les Nations unies supervisent », a-t-il dénoncé lors d’un meeting politique
Adoubé par le pouvoir algérien, l’islamiste A. Bengrina, a également adressé un appel aux pays participants à l’édition 2024 de l’ « African Lion » de la « boycotter », arguant que ces manœuvres « violent la souveraineté des territoires et des eaux légitimes sahraouis ».
Pour rappel, Abdelmadjid Tebboune avait réuni, à la veille du début de l’« African Lion 2023 », le Haut Conseil de Sécurité restreint avec pour ordre du jour « l’examen de la situation générale dans le pays et au niveau des frontières », avait indiqué un communiqué de la présidence algérienne.
Cette année, l’exercice militaire doit se dérouler dans les régions d’Agadir, Tan-Tan, Mehbes, Tata, Kénitra, Ben Guérir et Tifnit.