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Accords d’Abraham : La cybersécurité à l’ordre du jour

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Les Etats-Unis ont annoncé, mardi, l’élargissement des accords d’Abraham visant à normaliser les relations diplomatiques entre Israël et certains pays arabes, à la cybersécurité.
La cybersécurité

Le Washington Post a rapporté que cette extension de la coopération, toujours en cours, comprendrait un partage accru d’informations sur les cybermenaces et éventuellement l’ajout de formations.

Rob Silvers, sous-secrétaire US à la sécurité intérieure pour la stratégie, la politique et les plans, a déclaré que l’élargissement des accords de normalisation s’appuie sur la cyber-coopération, déjà opérationnelle entre les États-Unis, Israël et les Émirats arabes unis, inclura également le Bahreïn et le Maroc. « Nous nous réunirons en groupe pour déterminer comment nous pouvons approfondir notre travail en matière de cyberdéfense », a ajouté le responsable US, cité par le quotidien qatari AlQuds al-Arabi. « Nos pays sont confrontés à des défis informatiques communs – nous sommes évidemment tous confrontés à la cybercriminalité, aux rançongiciels, etc. », a-t-il déclaré.

Cette annonce se rapporte au dernier volet en termes de coopération électronique entre les États-Unis et le Moyen-Orient et la dernière tentative d’intégrer Israël dans la région arabe d’une manière ou d’une autre.

L’année dernière, le Trésor américain et le ministère des Finances israélien ont annoncé un accord bilatéral qui officialiserait et renforcerait leur partenariat en matière de cybersécurité. Selon cet accord, les États-Unis et Israël se sont engagés à partager des informations sur les cybermenaces ciblant le secteur financier, à former le personnel à la cybersécurité et à mener des exercices de cybersécurité transfrontaliers.

L’accord bilatéral du département du Trésor fait suite au voyage du président Joe Biden au Moyen-Orient en juillet, au cours duquel il s’est engagé à étendre et à renforcer la cyber-coopération avec Israël et l’Arabie saoudite. Les experts ont déclaré à l’époque que cette décision était probablement une réponse à la « menace numérique croissante de l’Iran ».

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