L’aide israélienne à l’Ukraine devient de plus en plus flagrante, estime le centre d’études libanais West Asia Research Centre (WARC), après des mois de déni et de dissimulation.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré que la perte de l’Ukraine pourrait éventuellement forcer les États-Unis à choisir entre « l’effondrement de l’OTAN » ou la guerre.

Ces derniers jours, l’Ukraine a lancé deux de ses brigades mécanisées les mieux entraînées et les mieux équipées sur les lignes russes, mais leur progression a été nulle. Pour Scott Ritter, ancien officier du renseignement des Marines US, l’échec est des plus cuisants.

L’armée russe a affirmé lundi 12 juin avoir repoussé des offensives ukrainiennes dans la zone du sud de l’Ukraine où Kiev a revendiqué la capture de plusieurs localités. Une contre-attaque semble néanmoins en cours.

Les États-Unis n’ont pas dressé un inventaire limpide des armes envoyées en Ukraine, a estimé le bureau de l’inspecteur général du Pentagone. De nombreuses zones d’ombres persistent dans l’aide militaire allouée.

La Fondation Brazzaville, en charge de l’initiative de paix africaine pour le conflit ukrainien, a annoncé les dates des rencontres que les Présidents de sept pays africains auront avec Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky.

Dans le sillage de l’attaque du barrage de Kakhovka, Russes et Ukrainiens s’accusent mutuellement d’avoir fait exploser lundi 5 juin le pipeline de Togliatti-Odessa, essentiel pour l’exportation d’ammoniac et les engrais. Tout cela conforte la thèse selon laquelle Kiev aurait lancé la contre-offensive prévue au printemps.

Alors que les médias occidentaux accusent à l’unanimité l’armée russe d’avoir détruit partiellement le barrage de Kakhovka, Washington qui suit la situation assure que rien ne permet pour l’heure d’accabler la Russie. Kiev qui continue d’essuyer les pertes sur les divers fronts recourt-il à la politique de la terre brulée ? La question mérite d’être soulevée d’autant que le principal perdant dans l’affaire est bien la Russie.

Des laboratoires biologiques US parsemés à travers le monde, y compris en Ukraine, servent à développer plusieurs types d’armes biologiques, a déclaré Robert Kennedy Jr, candidat à la prochaine présidentielle US et neveu du Président John Kennedy.