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Libye
« Les milices menacent et terrifient les employés de banque et enlèvent parfois leurs enfants et leurs proches pour les forcer à aller travailler », a…
William Burns, patron de la CIA, a séjourné à Tripoli en fin de semaine. Cette visite du plus haut responsable US depuis l’arrivée de Joe Biden à la Maison Blanche fait écho à une rencontre, en Italie, avec le maréchal autoproclamé Khalifa Haftar.
Malta Today vient de révéler que les autorités locales ont appréhendé un groupe de mercenaires britanniques en partance, via un vol privé, pour la Libye. L’affaire qui remonte à trois semaines implique d’anciens militaires travaillant pour la société privée de sécurité de Jack Mann, l’un des amis proches du prince Harry, de la famille royale britannique. J. Mann faisait d’ailleurs partie du groupe.
En Libye, Khalifa Haftar, l’homme fort de l’est du pays, a proposé depuis Benghazi, « une dernière chance » de tracer une voie politique et convoquer des élections. Des propos qui laissent un peu de répit pour la négociation.
Après le transfert à Washington d’un ancien officier des renseignements de l’ancien régime Kadhafi, le tour est-il venu de voir Abdallah al-Senoussi entre les mains de la justice américaine. Des informations ont circulé dernièrement sur une future extradition aux États-Unis de l’ancien chef des renseignements de Kadhafi.
Khaled Saad, ministre libyen de la Justice du gouvernement dirigé par Fathi Bashagha, a accusé la mission onusienne et des parties étrangères de diviser son pays, soulignant que « certains cherchent à tirer profit de la Libye ».
Lors de son dernier sommet début octobre, l’OPEP+ a décidé de réduire sa production, à compter du 1er novembre, de deux millions de barils par jour. Trois pays de l’OPEP sont exemptés de cet effort, à savoir l’Iran, le Venezuela et la Libye. En plus de l’Algérie.
Les affrontements entre deux milices dans la capitale libyenne ont fait 16 morts et une cinquantaine de blessés, selon un nouveau bilan établi par le ministère de la Santé.
Après l’accord trouvé entre Abdelhamid Dbeibah, le Premier ministre basé à Tripoli, et le camp du maréchal Khalifa Haftar dans l’est libyen, le Premier ministre considère, selon plusieurs observateurs, qu’il a obtenu le feu vert pour se débarrasser de son adversaire Fathi Bashagha, désigné en mars dernier Premier ministre par le parlement et dont le gouvernement s’est installé à Syrte.
Depuis la chute du régime Kadhafi, les Libyens n’en finissent pas protester contre le sort qui leur est réservé par une classe politique en proie à l’incurie. La jeunesse et la société civile réagissent en protestant contre la dégradation des conditions de vie dans un pays riche en hydrocarbures.
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