Libye

Malta Today vient de révéler que les autorités locales ont appréhendé un groupe de mercenaires britanniques en partance, via un vol privé, pour la Libye. L’affaire qui remonte à trois semaines implique d’anciens militaires travaillant pour la société privée de sécurité de Jack Mann, l’un des amis proches du prince Harry, de la famille royale britannique. J. Mann faisait d’ailleurs partie du groupe.

Après le transfert à Washington d’un ancien officier des renseignements de l’ancien régime Kadhafi, le tour est-il venu de voir Abdallah al-Senoussi entre les mains de la justice américaine. Des informations ont circulé dernièrement sur une future extradition aux États-Unis de l’ancien chef des renseignements de Kadhafi.

Lors de son dernier sommet début octobre, l’OPEP+ a décidé de réduire sa production, à compter du 1er novembre, de deux millions de barils par jour. Trois pays de l’OPEP sont exemptés de cet effort, à savoir l’Iran, le Venezuela et la Libye. En plus de l’Algérie.

Après l’accord trouvé entre Abdelhamid Dbeibah, le Premier ministre basé à Tripoli, et le camp du maréchal Khalifa Haftar dans l’est libyen, le Premier ministre considère, selon plusieurs observateurs, qu’il a obtenu le feu vert pour se débarrasser de son adversaire Fathi Bashagha, désigné en mars dernier Premier ministre par le parlement et dont le gouvernement s’est installé à Syrte.

Depuis la chute du régime Kadhafi, les Libyens n’en finissent pas protester contre le sort qui leur est réservé par une classe politique en proie à l’incurie. La jeunesse et la société civile réagissent en protestant contre la dégradation des conditions de vie dans un pays riche en hydrocarbures.