Hossein Amir Abdullahian, ministre iranien des Affaires étrangères, a affirmé que « le Pakistan revêt une grande importance dans la politique étrangère de l’Iran », appelant à la poursuite de la coopération sécuritaire et militaire entre les deux pays. L’apaisement entre Téhéran et Islamabad a succédé à un accès de fièvre entre les deux pays.
Lundi, à minuit pile, le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) iranien a lancé un barrage de missiles sur un centre d’espionnage du service d’espionnage israélien, Mossad au Kurdistan irakien, le détruisant complètement.
Plusieurs explosions ont secoué jeudi 18 janvier la ville iranienne de Saravan, dans le sud-est du Sistan-et-Baloutchistan, près de la frontière avec le Pakistan. Le raid pakistanais a fait des victimes parmi les civils, dont des femmes et des enfants, exilés en Iran. La veille, l’armée iranienne avait ciblé une concentration de Jaich al-Adl au Pakistan.
Le vice-Président iranien pour les affaires juridiques a annoncé l’intention de son pays de participer en tant que tierce partie au procès pour génocide intenté par l’Afrique du Sud contre Israël auprès de la Cour internationale de justice de l’Onu.
Les forces du QG de la force al-Qods du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI) dans la province du Sistan-Baloutchistan ont mené une opération contre une cellule terroriste affiliée à Jaïsh al-Adl, « l’Armée de la Justice » dans la région de Rask, dans le sud-est de l’Iran, a rapporté l’agence iranienne Tasnim.
L’Iran a annoncé, tôt mardi, avoir lancé plusieurs salves de missiles balistiques sur des cibles « terroristes » en Syrie et en Irak, tuant au moins « quatre civils » au Kurdistan irakien selon les autorités locales.
La marine iranienne a annoncé jeudi 11 janvier avoir arraisonné un pétrolier en mer d’Oman, en réaction à la saisie d’un million de barils iraniens par les États-Unis il y a quelques mois.
Téhéran approuve la voie du recours judiciaire contre Israël, a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères.
Kazem Gharibabadi, secrétaire du Comité des droits de l’homme du pouvoir judiciaire iranien, a affirmé « qu’il y a 96 accusés américains dans le dossier de l’assassinat du commandant martyr Qassem Soleimani ».
Le ministère iranien de la Sécurité a annoncé avoir déterminé la nationalité de l’un des deux terroristes ayant commis les attentats de Kerman mercredi, qui porte une identité tadjike, tandis que « des enquêtes sont en cours pour déterminer la nationalité du second ».
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