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Le début de semaine a été particulièrement sanglant pour les Gazaouis. Lundi, au moins 97 Palestiniens ont été tués et…
Ce sondage, réalisé par l’Institut de recherche Lazer pour le site d’information en hébreu Walla, et traduit par le site…
La guerre persiste à Gaza. Le chef du gouvernement israélien, à l’origine de l’offre de trêve parrainée par Joe Biden, persiste à manœuvrer, en assurant qu’il n’est pas question d’arrêter les combats sans libération des otages et démantèlement des structures du Hamas. Les plus ultras de ses ministres, Itamar Ben Gvir et Bezalel Smotrich, ont menacé de lâcher Benjamin Netanyahou s’il permettait l’accord sur un cessez-le-feu à Gaza annoncé par le locataire de la Maison Blanche.
Un nombre croissant de démocrates au Congrès US ont rejeté, vendredi, les pressions visant à soutenir l’invitation lancée par Mike Johnson, président de la Chambre, au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu afin de prendre la parole lors d’une session conjointe du Congrès – alors même que son gouvernement est accusé de génocide et que la Cour pénale internationale a ordonné son arrestation pour crimes contre l’humanité à Gaza.
La Chine s’implique de plus en plus sur l’échiquier proche-orientale, comme le démontre le parrainage d’une réunion de réconciliation inter palestinienne. Une démarche qui rejoint celle déployée déjà par la Russie. En parallèle, il y a lieu de relever que les efforts menés pour une trêve à Gaza restent infructueux, en dépit de l’insistance US à marketer l’offre israélienne sous le signe de « la générosité ». Dans l’enclave palestinienne, les diverses zones ont subi la dure loi de l’occupation israélienne avec un pilonnage systématique à l’artillerie, c’est-à-dire aveugle, et des raids aériens.
Les colons israéliens ont fermé dans la nuit de mercredi les rues d’AlQods occupée dans le cadre de manifestations pour exiger que le gouvernement d’occupation scelle un accord d’échange de prisonniers, alors que la guerre dans la bande de Gaza se poursuit depuis plus de 200 jours.
Depuis le 31 mars, des milliers d’Israéliens, dont les familles des otages, manifestent devant la Knesset et devant le domicile de Benjamin Netanyahou. En raison de l’échec des pourparlers pour la libération des otages dans la bande de Gaza, ils réclament sa démission et des élections anticipées.
Alors que la liste établie par le ministère de la Santé sur le nombre des victimes parmi les civils palestiniens s’allonge depuis le 7 octobre dernier, raids et bombardements n’en finissent pas sur diverses zones de la bande de Gaza, le Premier ministre israélien a approuvé les « plans d’action » de l’armée en vue d’une offensive à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, selon un communiqué transmis ce 15 mars à la presse.
Alors que les renseignements américains ont publié un rapport évoquant la viabilité du Premier ministre israélien, qui « pourrait être menacée » en raison des critiques sur sa gestion de la guerre, un haut responsable israélien a accusé Washington de chercher à évincer Benjamin Netanyahou.
Le service de sécurité du bureau du Premier ministre Benjamin Netanyahu a demandé, à l’entrée du cabinet de guerre, de fouiller les affaires d’Herzi Halevy, chef d’état-major israélien. C’est ce qu’ont révélé, mardi 5 décembre, les médias israéliens. Comme quoi, la confiance règne…

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