Figurent au programme de cette édition diverses activités dont la plus importante est la compétition officielle qui met en lice 16 courts-métrages sélectionnés parmi les candidatures reçues par le comité organisateur du festival.
Un communiqué de l’association 7ème Art précise que le jury de cette édition est présidé par la réalisatrice Fatima Boubakdi, et comprend Hassan Nrais (journaliste et critique d’art), la chanteuse Samia Ahmed, le comédien Mohamed Miftah, ainsi que Mostapha Benghaleb, ancien membre de l’association 7ème Art et réalisateur amateur d’une série de courts-métrages.
Le programme des activités comprend une compétition des films d’amateurs, des ateliers de formation, un panorama, une table ronde et une conférence…
Outre la compétition officielle, sont au menu de cette manifestation 5 ateliers destinés à quelque 120 participants de différentes tranches d’âge et animés par des professionnels reconnus. Il est question de l’atelier d’interprétation animé par le dramaturge Abdelhak Zerouali, l’atelier d’écriture de scénario qui sera assuré par Abdelkader Almansoure, l’atelier tournage (Mohamed Riad Meftahi), l’atelier d’analyse filmique (Hassan Dahani) et l’atelier de traitement du son (Abdelaziz Zitouni).
Le public du festival aura également rendez-vous avec une master class présentée par Fatima Boubakdi présidente du jury et réalisatrice.
Dans le cadre de sa tradition culturelle réitérée au fil des éditions, l’Association 7ème Art de Settat recevra cette année, dans la section panorama, l’Association française DAN qui propose une série de films qui seront projetés tout au long du festival.
Par ailleurs, le festival connaîtra aussi des moments forts, notamment la conférence principale qui sera animée par Hassan Zainoun, un colloque international sur l’impact de l’intelligence artificielle sur le cinéma, ainsi qu’une exposition de photographies intitulée “Miroirs de nos identifications”. On cite également une master class signée par l’artiste Mohamed Miftah, outre des séances de dédicace du livre “Le Rêve interdit” de Hassan Zainoun et du livre “Esthétique du cinéma” d’Abdelali Mazouz.
