Exécutif
Secteur de la pêche : le PJD interpelle l’Exécutif. En cause, « l’opacité et la corruption » en lice
Lors de la séance hebdomadaire des questions orales, les parlementaires du PJD ont mis à l’index, lundi dernier, le ministère de l’Agriculture, estimant que…
Dans une déclaration à la presse à l’issue d’une réunion du comité de pilotage du…
Dans une déclaration à la presse à l’issue de sa présentation du projet de loi…
Attendu en séance plénière, mardi, devant le parlement, le chef du gouvernement a affirmé, de nouveau, que l’Exécutif est résolu à accélérer le rythme des programmes d’emploi, à maîtriser les taux de chômage et à offrir des opportunités de travail décent garantissant l’égalité des chances dans l’accès à un emploi stable et durable. Comme il a rappelé l’importance du dialogue social mis en place. Une séance sur laquelle planait la crise ouverte des facultés de médecine et de pharmacie et la montée en puissance des revendications catégorielles, notamment au niveau du secteur de la santé, vecteur de l’Etat social. Tout cela fait planer le doute sur la crédibilité du discours éthéré de la majorité.
En dépit de la réticence des syndicats à emprunter la voie dessinée par le gouvernement pour réformer le système des retraites qui bat de l’aile, il faut croire que l’Exécutif est décidé à aller de l’avant. Tout report de ladite réforme induira un surcoût, explique-t-on. La logique voudrait que l’assiette des cotisants soit élargie pour revaloriser le système. N’eut été l’aveuglement de nombre de gouvernements, dont l’actuel, à gober la potion magique des bailleurs de fonds qui n’ont d’autre formule à la bouche que de « dégraisser le Mammouth ». C’est-à-dire réduire au maximum la masse salariale dans le public. Même si le taux d’encadrement de la population reste chancelant ! Encore faut-il souligner que parallèlement à cette pomme de discorde, un autre rejoint le panier, à savoir le droit de grève…
En dépit des données du Haut-commissariat au plan (HCP) qui rappellent que le moral des Marocains est dans les chaussettes, Mustapha Baitas, porte-parole du gouvernement, tente de convaincre quant au succès de la politique sociale du gouvernement. Exit l’inflation et ses répercussions sur le pouvoir d’achat, rassure-t-il.
Alors que le faste du SIAM n’occulte en rien les méandres que traverse le secteur agricole en butte aux caprices du ciel et à l’échec des stratégies déployées pour l’essor du monde rural, le chef du gouvernement, responsable du « Plan Maroc Vert » qui s’est mué en « Génération Green » sans reddition des comptes, n’a pas froid aux yeux. Il a choisi de monter au créneau pour faire étalage, à la chambre des représentants, des réalisations du gouvernement à mi-mandat. Aziz Akhannouch est aux anges : « toutes les prévisions et attentes » ont été dépassées, a-t-il martelé mercredi !
L’Observatoire du Travail Gouvernemental (OTRAGO) a publié son rapport sur le bilan de mi-mandat de l’Exécutif dirigé par Aziz Akhannouch. L’objectif est d’enrichir le débat public et d’approfondir la conscience politique en examinant de manière critique et responsable les actions gouvernementales.
Le président de la Chambre des représentants a officiellement sollicité un report de la séance prévue pour la présentation du bilan d’étape du travail gouvernemental. Une correspondance adressée au chef du gouvernement annule la précédente. Sans évoquer le vice de forme… Sans attendre un bilan jugé déjà catastrophique, le PJD s’est permis le luxe de descendre en flammes l’actuelle majorité aux affaires. Laquelle fait endosser ses échecs aux boucs émissaires.
Abderrahman Ben Ameur, bâtonnier et mandataire de la pétition populaire réclamant la rupture des relations avec Israël, a demandé une réunion avec Aziz Akhannouch, chef du gouvernement, pour lui soumettre les signatures.
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