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Espagne
F. Clavijo a rejeté toute responsabilité de son gouvernement en matière de politique étrangère, précisant que cette prérogative revient exclusivement au gouvernement central de…
L’Exécutif espagnol reconnait que « la situation sécuritaire au Maghreb continue d’être l’un des facteurs qui affectent le plus le niveau de menace terroriste en Espagne et sur nos intérêts dans ladite région ». Cette mise en garde cadre avec la nouvelle Stratégie contre le terrorisme approuvée par le Conseil de Sécurité espagnol, présidé par Pedro Sanchez.
Le Parti populaire espagnol a ouvert deux fronts contre les exportations agricoles marocaines. A la Chambre des représentants, son groupe de députés a déposé une proposition, non-contraignante pour le gouvernement, réclamant l’adoption de mesures d’interdiction des importations de produits, notamment du Maroc, contenant des résidus supérieurs à ce qui est autorisé dans l’espace de l’Union européenne ( 0,01 milligramme pour un kg pour les produits destinés à la consommation des humains et des animaux).
Agnès Callamard, secrétaire générale d’Amnesty International, a rencontré, lundi à Madrid, José Manuel Albares, ministre espagnol des Affaires étrangères, pour discuter de la question des droits humains au Sahara marocain.
Les députés espagnols ont voté jeudi 14 mars une loi d’amnistie pour les indépendantistes condamnés ou poursuivis pour la tentative de sécession avortée de la Catalogne (nord-est du pays) en 2017. Une mesure très controversée, mais vitale pour la survie du gouvernement du socialiste Pedro Sánchez.
Le coût politico-diplomatique induit par la politique marocaine du gouvernement P. Sanchez a été évalué d’une manière assez critique de la part des alliés de la majorité aux affaires comme du côté de l’opposition. Dans le dossier saharien, un retour au « consensus » et la « neutralité » est exigé de Madrid. Est-ce à dire que le soutien à l’offre marocaine ne représente qu’une parenthèse ?
Le Premier ministre espagnol a annoncé qu’il proposerait au Parlement de voter en faveur de la reconnaissance de l’État palestinien d’ici la fin de son mandat en 2027.
Le projet de transfert du contrôle de l’espace aérien sahraoui par l’Espagne au Maroc fait jazzer l’opposition espagnole. Les fuites médiatiques sur des réunions secrètes entre Rabat et Madrid consacrées à l’examen de ce dossier fait monter les enchères.
La concorde entre Rabat et Madrid n’est pas qu’un fleuve tranquille. La preuve, l’armée espagnole, dont certains milieux restent très suspicieux vis-à-vis du Maroc, entend truffer de système anti-drones l’ensemble des ilots que le Royaume réclame dans le cadre de la décolonisation de Sebta et Melilla. Un casus belli ?
Le gouvernement espagnol a approuvé, lors de sa réunion du 27 février, la proposition faite par les ministres des Affaires étrangères et de l’Education (tous deux socialistes) de concéder la Grande croix de l’ordre civil d’Alphonse X le sage à André Azoulay. Une distinction espagnole de plus pour le sherpa qui intervient dans le sillage du dernier déplacement du chef du gouvernement espagnol à Rabat.
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