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Opinion
Jamais les Palestiniens n’ont commémoré l’anniversaire de la Nakba dans ces conditions géopolitiques aussi singulières précipitées par l’opération osée du Hamas le 7 octobre dernier. L’Opération Déluge d’Al-Aqsa a en effet permis à l’axe de la résistance, patiemment tissé au fil des ans, de se matérialiser sur le terrain. C’est-à-dire face à l’occupant israélien et à son soutien occidental, les USA en tête. De l’Irak au Yémen, en passant par la Syrie et le Liban, la résistance palestinienne est soutenue par le feu.
Ce dimanche 12 février, dans un communiqué officiel, l’agence de presse algérienne APS a propagé,…
Historiquement, le service de renseignement algérien et son supplétif malien ont produit des monstres et des psychopathes ayant éliminé des centaines de milliers de leurs propres compatriotes autant que le colonialisme. Le chiffre des victimes innombrables de ces « services » n’a épargné personne : penseurs, intellectuels, artistes, hommes d’affaires, hommes politiques, élus, femmes, enfants, vieillards, cela au nom de principes démagogiques et fallacieux.
Les Algériens se posent un ensemble de questions sur l’opportunité de la réunion du Haut Conseil de Sécurité ou de guerre qui s’est tenue au palais d’El-Mouradia. Les présents étaient tous en tenue vert olive à l’exception d’un seul qui semblait être l’invité « d’honneur ». Selon la dernière constitution algérienne qui définit ses membres, ce Haut Conseil est un organisme consultatif qui, en principe, se réunit en situation exceptionnelle dans les États de droit, et qui s’est transformé en un rouage banalisé du système militaro-politique de l’Algérie.
Cependant, pour la première fois, les membres civils de cette instance ne sont pas présents à la réunion. Ainsi en est-il du premier Ministre, du ministre des Affaires Étrangères, du ministre de la Justice, du ministre de l’Intérieur et aussi des directeurs des départements de sécurité, des sécuritaires, du commandant de la gendarmerie, du directeur de la DGSN, de la DGSI et de la DGSE, sans oublier le directeur de la DCSA, tous absents excusés.
Cette réunion en comité restreint a réuni outre le chef de l’État désigné Abdelmadjid Tebboun, le chef d’État-major de l’Armée nationale populaire (ANP) Said Chengriha et les chefs de corps de l’État-major : commandants de l’armée de l’air, de la marine, des forces terrestres et de la défense du territoire.
« À partir de la seconde moitié du XIXe siècle, un ensemble de facteurs a perturbé la tenue de ce négoce caravanier, amorçant son déclin, … Les rapports sociaux de production et d’échange, les rapports de domination, ainsi que les rapports des populations à l’espace ont pour une bonne part été bouleversés… entraînant ces populations dans une situation de crise. » (Julien Brachet). Ceci est bien sûr valable pour l’ensemble des confédérations touarègues, qui va être violemment soumis à la destruction du commerce caravanier, à la première colonisation du Sahara, puis à la seconde colonisation de la zone sahélo-saharienne par les nouveaux « États-nations » créés de toutes pièces sans la moindre légitimité populaire, ni aucun ancrage historique, sociétal et politique.
Selon plusieurs stratégistes, la nouvelle alliance militaire franco-algérienne serait due à plusieurs facteurs dont principalement les conséquences de l’embourbement de la Russie, alliée traditionnelle de la junte d’Alger, depuis 1962, dans la guerre de l’Ukraine. Ce à quoi, il convient d’ajouter l’échec patent et l’impopularité abyssale du système politico-militaire qui sévit depuis l’indépendance fictive de ce pays baptisé Algérie par la France, son géniteur, au détriment de ses voisins. Ce système hybride fut de tout temps encadré par l’armée rouge et son service de renseignement, le KGB, et, aussi, par la Gauche européenne.
Le général de corps d’armée Said Chengriha de l’armée nationale populaire de la régence d’Alger (Anp) est actuellement en visite officielle en France. Il s’agit d’une première depuis celle de son prédécesseur, le général Ahmed Gaid Salah en 2006. Ce général est à Paris avec pour mission de préparer et d’encadrer la visite d’État du président désigné Abdelmadjid Tebboun prévue au mois de mai prochain. Ces visites suscitent beaucoup d’interrogations en Algérie et dans la diaspora algérienne. Cependant, les communiqués du MDN (ministère de la défense d’Alger) se succèdent. Le responsable militaire algérien vient d’être accueilli en grande pompe par le chef d’état-major de l’armée française et par le ministre des armées avec lequel il a signé une feuille de route relative à la coopération militaire et sécuritaire entre les deux pays. Ce général qui fut cité dans les massacres de la décennie noire à Lakhdaria (ex-Palestro), et qui tuait de sa propre main, est malheureusement l’invité d’honneur à l’Élysée du président Emmanuel Macron.
Élu ? – l’actuel locataire d’El-Mouradia à Alger, qui briguerait un second mandat- : point trop n’en faut, seulement 5 % de la population aura voté au milieu de dizaines de milliers de militaires, policiers, gendarmes, douaniers et autres corps constitués qui, se mêlant au peu d’électeurs, auront troqué l’uniforme pour un accoutrement civil à l’occasion.
Inconsistance ravageuse :
Lorsqu’une ministre dit la chose et son contraire
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