Asie du sud
La deuxième économie d’Asie du Sud-Est se prépare pour un énième cycle de troubles politiques et de contestations populaires, sur fond de querelles tenaces…
La CIA concocte une révolution colorée en Indonésie via le National Endowment for Democracy (NED) afin d’empêcher la réélection du président actuel Joko Widodo, lors des prochaines élections présidentielles et législatives prévues le mois de février prochain. Telle est la conclusion à laquelle est allé MintPress News.
Les Philippines ont condamné les actions « illégales » des navires chinois en mer de Chine méridionale, après une interférence présumée de ces bâtiments dans une mission de réapprovisionnement.
Le sommet de l’Association des nations de l’Asie du Sud-Est (Asean) s’est ouvert mardi à Jakarta. Ce dernier grand rendez-vous sous la présidence indonésienne doit servir à se pencher de nouveau sur la crise inextricable de la Birmanie ainsi que sur la rivalité croissante des superpuissances en mer de Chine méridionale.
L’Inde a lancé, lundi 4 septembre, d’importantes manœuvres militaires, notamment le long de la frontière himalayenne contestée avec la Chine. Celles-ci se poursuivront lors du G20 à New Delhi, les 9 et 10 septembre, auquel le président chinois Xi Jinping ne participera pas.
La fusée indienne Chandrayaan-3 a atterri mercredi 23 août, sur la Lune. L’Inde devient ainsi la quatrième puissance spatiale à se poser sur le satellite naturel de la Terre.
Rahul Gandhi, chef de l’opposition indienne, a condamné mercredi l’inaction du Premier ministre face aux violences ethniques dans l’État du Manipur, lors de son premier discours au Parlement qu’il a réintégré après la suspension de sa condamnation.
En Inde, la Cour suprême vient de suspendre la condamnation de Rahul Gandhi, leader de l’opposition, reconnu coupable en mars de diffamation lors d’un discours de campagne qui faisait référence au Premier ministre. Cela ouvre donc la voie à son retour au Parlement.
À moins d’un an des élections législatives nationales, 26 partis ont constitué une alliance appelée « India », qui doit permettre de constituer une plateforme de discussions sur une répartition des sièges et un possible programme commun. Mais même sous ce format, le combat est loin d’être gagné.
La France a convié cette année le Premier ministre indien Narendra Modi à la cérémonie du 14-Juillet. Et malgré le fait que le nationaliste hindou est critiqué pour ses dérives autoritaires, il est, aux yeux de Paris, un partenaire indispensable.
