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Ces accords, dont la valeur dépasse 8 milliards de dollars, selon Dong Guangli, ambassadeur de Chine à Alger, témoignent des relations économiques soudées entre…
Abdelmadjid Tebboune qui effectue la première visite d’un chef d’État algérien à Pékin depuis 17 ans a rencontré mardi le président chinois. « La Chine est prête à travailler avec l’Algérie pour renforcer les communications stratégiques, approfondir les échanges et la coopération », a déclaré Xi Jinping.
À partir de lundi 17 juillet, le président algérien Abdelmadjid Tebboune entame une visite d’État en Chine. Alger souhaite un appui de Pékin pour l’adhésion au BRICS. La Chine est l’un des principaux partenaires commerciaux de l’Algérie. Cette visite en Chine qui durera cinq jours intervient quelques semaines après un séjour à Moscou.
Un mois à peine après leur premier voyage commun à Tunis, trois dirigeants européens ont signé, dimanche avec le président Kaïs Saïed, un « protocole d’accord » pour une coopération, en grande partie économique, mais aussi sur les questions migratoires.
Le fonds souverain de la Libye, le plus grand d’Afrique, attaque en justice le frère du roi de Belgique. Ce fonds libyen est gelé depuis la révolution libyenne de 2011 et l’intervention militaire menée dans le pays sous l’égide de l’ONU. Il gérait initialement de l’argent public libyen, notamment l’argent du pétrole, en l’investissant sur les marchés financiers par exemple.
Une fois de plus, Khalifa Haftar, maréchal autproclamé et homme fort de l’Est libyen, a appelé à une répartition équitable des recettes pétrolières. Principale source de revenus du pays, elles sont très souvent au cœur des querelles entre camps rivaux à l’est et à l’ouest du pays. Mais elles sont gérées par la Compagnie nationale de pétrole et la Banque centrale, basées à Tripoli, à l’Ouest.
Dans la ville tunisienne de Sfax, après une troisième nuit de violences contre les Subsahariens à la suite de la mort d’un Tunisien poignardé lundi lors d’une altercation avec des migrants, le calme est revenu mercredi. Mais la tension reste palpable. De nombreux migrants se cloîtrent chez eux, d’autres ont été escortés par la police hors de leur domicile sous les clameurs des habitants leur intimant de dégager, d’autres encore sont condamnés à fuir la ville par tous les moyens.
Oussama Hammad, chef du gouvernement libyen en charge du Parlement, a demandé à Richard Norland, envoyé spécial américain en Libye, de respecter la souveraineté du pouvoir judiciaire libyen et de ne pas avoir de parti pris avec aucun protagoniste, qualifiant ses déclarations dans les médias d’« ingérence flagrante dans les affaires de l’État libyen ».
Hossein Amir Abdollahian, ministre iranien des Affaires étrangères, s’est félicité, jeudi lors d’une réunion avec les ambassadeurs des pays musulmans, de l’amorce d’une « normalisation des relations avec le Maroc », après cinq années de rupture. Une décision qui ne semble être du goût des voisins algériens.
Après ses déclarations de février qui avaient été suivies de violences intenses contre les migrants subsahariens, le président tunisien a réitéré ce 26 juin son opposition à leur présence sur le sol national. Alors que la saison estivale propice aux départs débute, la ville de Sfax est devenue le point de ralliement des migrants en quête d’Europe. Et les tensions montent sur place.
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