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Khartoum a attaqué les Émirats devant la CIJ à La Haye, les accusant de complicité de génocide à l’encontre de la communauté masalit, en…
En Éthiopie, les rebelles tigréens semblent continuer leur avancée en région Amhara. Les combats se poursuivent dans la ville de Dessie et ses environs. Les rebelles tigréens sont entrés dans l’agglomération de 200 000 habitants samedi, mais ne la contrôleraient pas encore entièrement. Dans la foulée, ils sont aussi entrés dans la grande ville voisine, Kombolcha.
Le putsch opéré lundi dernier au Soudan n’en finit pas de faire des vagues. Les opposants au coup d’Etat militaire organisent une démonstration de force contre le général Abdel Fattah al-Burhan. Ils sont bien décidés à remettre en route la transition démocratique, malgré cinq jours de répression meurtrière, le bilan étant d’au moins dix morts et des dizaines de blessés.
Le Conseil de sécurité des Nations unies a adopté une résolution unanime sur le Soudan, jeudi 28 octobre. Après plusieurs jours de discussions, la Russie et la Chine ont accepté de signer un texte amendé, définissant une position commune. Au moins une personne supplémentaire s’érigeant contre le coup d’État a perdu la vie.
Le gouvernement a procédé à de nouvelles frappes aériennes sur Mekele, la capitale provinciale du Tigré. Un bombardement qui aurait fait des victimes selon les rebelles tigréens du T
PLF.
Les forces de sécurité soudanaises ont multiplié mercredi les arrestations de militants et manifestants pour tenter d’en finir avec l’opposition au putsch militaire. En fin de journée, des manifestants résistent en maintenant les barricades de leur « grève générale ».
Abdallah Hamdok, Premier ministre soudanais arrêté en même temps que plusieurs responsables de la transition aux premières heures du coup d’État à Khartoum, lundi 25 octobre, a été relaxé par les hommes du général Abdel Fattah Al-Burhan, chef de l’armée et du Conseil souverain de la transition. Ce dernier a procédé à la dissolution, mardi 26 octobre, des autorités de transition, remettant le sort du pays entre les mains d’une junte. Ce que le peuple soudanais, ou du moins une bonne partie, rejette.
Les combats, dans l’État de Galmudug, opposent depuis plusieurs jours les forces pro-gouvernementales et la milice soufie Ahly Sunna Wa Jamaa. Ils ont déjà fait douze morts selon des sources sécuritaires. L’ONU s’inquiète des conséquences humanitaires de ces affrontements et craint aussi qu’ils ne retardent encore un peu plus le processus électoral en cours.
Alors qu’une réunion à huis clos du Conseil de sécurité de l’Onu sera consacrée ce mardi à la situation au Soudan, les États-Unis, le Royaume-Uni et la Norvège, ont condamné la suspension des institutions de l’État et ont appelé à libérer le Premier ministre et d’autres dirigeants civils détenus illégalement.
La junte soudanaise dirigée par le général Abdel Fattah al-Burhan a annoncé la dissolution des autorités de transition et décrété l’état d’urgence dans le pays. Tôt dans la matinée de lundi, des hommes armés ont arrêté plusieurs dirigeants dont le Premier ministre, après des semaines de tensions entre les autorités militaires et civiles de transition. Deux morts et des dizaines de blessés par balles ont été signalés à Khartoum.
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