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Burkina Faso
Les services de renseignement avaient intercepté des communications compromettantes impliquant le lieutenant Barry Abdrahmane, un officier en service au bataillon de la justice militaire…
Une nouvelle attaque a visé les forces armées burkinabé samedi 29 octobre dans l’est du pays. Un convoi qui se rendait à Natiaboani, situé à 45 km au sud de Fada N’Gourma, a été ciblé. Au moins 13 soldats y ont trouvé la mort, selon un bilan provisoire de sources sécuritaires. Des renforts ont été dépêchés pour ratisser la région.
Les forces armées burkinabè lancent la mobilisation populaire pour faire face aux groupes armés terroristes. Un recrutement de 35 000 volontaires pour le compte des communes du pays et de 15 000 volontaires pour la brigade de veille et de défense patriotique est en cours. Ses missions : la coordination opérationnelle de la défense civile du territoire, la contribution à la recherche du renseignement et la défense de certaines parties du territoire en cas de nécessité.
Au Burkina Faso, un bilan provisoire fait état de douze morts, dont quatre soldats, dans une embuscade qui a eu lieu, samedi 15 octobre, dans le centre-nord du pays.
Blaise Compaoré, ancien président du Burkina Faso, en exil à Abidjan depuis 2014, est attendu vendredi à Ouagadougou pour la rencontre des anciens chefs d’État : Roch Marc Christian Kaboré, Michel Kafando, Yacouba Isaac Zida et Jean-Baptiste Ouédraogo. Ils évoqueront, selon un communiqué des autorités, « les intérêts supérieurs de la nation ».
Un conseil supérieur de la défense nationale s’est tenu à Ouagadougou lundi 20 juin sous la présidence du lieutenant-colonel Paul Henri Damiba, chef de l’État. Plusieurs décisions ont été annoncées dans le cadre de lutte contre l’extrémisme violent.
Les attaques djihadistes se sont multipliées ces derniers temps dans le nord et l’est du Burkina Faso. La plus meurtrière est celle qui, jeudi dernier, a ciblé la localité de Seytenga, près de la frontière nigérienne.
« Une centaine de terroristes neutralisés », trois bases détruites, de l’armement, des munitions et des véhicules saisis… c’est le bilan d’une opération militaire conjointe annoncé lundi 25 avril dans un communiqué de presse, par les état-majors burkinabè et nigériens.
Douze soldats et quatre volontaires pour la défense de la patrie ont été tués ce vendredi 8 avril à Namissiguima dans la province du Sanmatenga. Des dégâts matériels ont été également signalés. L’attaque survient au moment où les forces armées ont lancé une opération de « dépollution » des localités de la région.
Les trois principaux accusés de l’assassinat de l’ex-président du Burkina Faso Thomas Sankara en 1987, dont l’ancien chef de l’Etat Blaise Compaoré, ont été condamnés à la prison à perpétuité par le tribunal militaire de Ouagadougou.
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