Ladite cellule, composée de trois personnes âgées entre 31 et 40 ans, s’apprêtait à exécuter des projets terroristes dangereux visant à porter atteinte à la sécurité et à la stabilité du Maroc, indique un communiqué du BCIJ.
Selon les premiers éléments de l’enquête, les prévenus avaient prêté allégeance à l’émir prétendu de Daech et se préparaient à mener des actions terroristes, sous forme de projets destructeurs visant des installations vitales et sécuritaires, après s’être impliqués concrètement dans la préparation matérielle à travers la détermination des cibles et l’acquisition d’informations sur la confection d’explosifs.
L’enquête a révélé que les mis en cause ont tenté de tisser des liens avec d’autres éléments terroristes s’activant hors du Maroc, à l’effet de coordonner avec eux pour rejoindre une des sections Daech, particulièrement dans la région du Sahel et du Sahara, immédiatement après l’exécution des plans terroristes qu’ils comptaient perpétrer dans le pays, ajoute la même source.
Les mis en cause ont été placés en garde à vue pour approfondir l’enquête judiciaire menée sous la supervision du parquet antiterroriste, dans le but de déterminer tous les projets ainsi que les ramifications de cette cellule qui démontre, encore une fois, la prolifération des dangers terroristes qui guettent le pays, face à l’acharnement de ceux imprégnés des thèses extrémistes à répondre aux appels subversifs émanant du groupe terroriste Daech.
