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Dialogue social

Dialogue social : L’UMT propose une loi pour l’institutionnaliser. Et réclame une revalorisation générale des salaires et des retraites
Miloudi Moukharik, secrétaire général de l’UMT, a souligné que la précédente augmentation, convenue en avril 2024, a été « érodée » par les hausses successives

Ras-le-bol chez les retraités : Nouvelle lettre ouverte à A. Akhannouch, le RéMOR anticipe les rounds du dialogue social…
Le RéMOR alerte sur la dégradation alarmante des conditions de vie de cette frange de la population, victime d’un gel prolongé des pensions et d’une

Le chef du gouvernement chez les Conseillers : Entre vœux pieux et casse sociale
Attendu en séance plénière, mardi, devant le parlement, le chef du gouvernement a affirmé, de nouveau, que l’Exécutif est résolu à accélérer le rythme des programmes d’emploi, à maîtriser les taux de chômage et à offrir des opportunités de travail décent garantissant l’égalité des chances dans l’accès à un emploi stable et durable. Comme il a rappelé l’importance du dialogue social mis en place. Une séance sur laquelle planait la crise ouverte des facultés de médecine et de pharmacie et la montée en puissance des revendications catégorielles, notamment au niveau du secteur de la santé, vecteur de l’Etat social. Tout cela fait planer le doute sur la crédibilité du discours éthéré de la majorité.

Dialogue social : Ce que préconise l’OTRAGO
L’Observatoire du travail gouvernemental (OTRAGO) a dévoilé l’évaluation qu’il vient de faire sur les avancées significatives du dialogue social ainsi que sur les défis encore à relever. Il insiste sur la démarche inclusive pour faire avancer le train des réformes envisagées en tête desquels figurent les dossiers du régime des retraites et du droit de grève.

Dialogue social : Que prévoit l’après tour de chauffe ?
Le gouvernement est disposé à accompagner les réformes structurelles prévues dans l’accord du 30 avril 2022, a affirmé, vendredi à Rabat, Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion économique, de la petite entreprise, de l’emploi et des compétences.

Dialogue social « exclusiviste » : L’UNMT dénonce sa marginalisation
Le redémarrage du nouveau cycle de dialogue social soumis aux fourches caudines de « la représentativité » n’est pas pour plaire à tous. L’Union nationale du travail au Maroc (UNTM, bras syndical du PJD) en fait partie. Remettant en cause ce processus, le syndicat dénonce ce qu’il juge comme une « partialité flagrante du gouvernement et une exclusion des syndicats sérieux dont les positions divergent de celles du gouvernement sur la situation sociale difficile ».

Dialogue social : Après l’UMT, place à l’UGTM…
Le Chef du gouvernement a poursuivi, mercredi 27 mars à Rabat, les rencontres dans le cadre du nouveau round de dialogue social. Ce 2è jour a été marqué par une réunion avec une délégation de l’Union Générale des Travailleurs du Maroc (UGTM), conduite par Enaam Mayara, secrétaire général de la centrale.

Dialogue social : En pleine tension sociale, A. Akhannouch fait honneur à l’UMT
Une nouvelle réunion de dialogue social a entamé ses travaux, ce mardi 26 mars 2024 à Rabat, sous la présidence du chef du gouvernement. Aziz Akhannouch aura choisi donc d’entamer, en ce mois de ramadan, les négociations avec les centrales syndicales, dites « les plus représentatives », alors que la tension marque les annales de plusieurs secteurs.

Protestations et marches en ce 1er mai : Les syndicats mobilisent en rangs dispersés
En dépit des contre-coups générés par l’inflation qui a atteint des sommets dans le pays, les centrales syndicales ont choisi, chacune, de faire cavalier seul. L’union de la lutte syndicale reste donc chimérique alors que la situation sociale, lourdement fragilisée par la hausse des prix, l’exige. En face, l’Exécutif qui soutient s’accrocher à l’institutionnalisation du dialogue social n’a offert aux salariés que des promesses.

Revalorisation du Smig de 5% : Les promesses du gouvernement pour le 1er mai
Alors que l’inflation atteint des records, le gouvernement œuvrera à l’augmentation de 5% du salaire minimum dans les secteurs de l’industrie, du commerce et des professions libérales, tout comme dans l’agriculture, a annoncé, dimanche, Younes Sekkouri, ministre de l’Inclusion économique, de la Petite entreprise, de l’Emploi et des Compétences.
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