Devant les hausses répétées des prix des carburants, Ahmed Rahhou a rappelé que le marché était libre et que ce qui est interdit c’est l’entente, la collusion sur l’augmentation ou la baisse des prix en même temps. Il a estimé que « les acteurs économiques peuvent changer les prix à tout moment », annonçant que le Conseil se dirigeait dans les semaines à venir vers une étude sur les changements de prix survenus tout au long de l’année, depuis la publication du rapport précédent.
Les prix du carburant ont connu une
Devant les hausses répétées des prix des carburants, Ahmed Rahhou a rappelé que le marché était libre et que ce qui est interdit c’est l’entente, la collusion sur l’augmentation ou la baisse des prix en même temps. Il a estimé que « les acteurs économiques peuvent changer les prix à tout moment », annonçant que le Conseil se dirigeait dans les semaines à venir vers une étude sur les changements de prix survenus tout au long de l’année, depuis la publication du rapport précédent.
Les prix du carburant ont connu une quatrième augmentation en 15 jours, contrairement à la traditionnelle démarche établissant une révision des prix tous les 15 jours. Mardi soir, les prix ont connu une hausse d’environ 76 centimes le litre de gasoil et de près de 52 centimes le prix de l’essence, avec de légères différences selon les enseignes.
Dans une déclaration au micro de Hespress, A. Rahhou a rappelé que « le Conseil de la concurrence n’a pas le pouvoir de contrôler les prix. Le marché est libre et les acteurs économiques peuvent fixer librement les prix », ajoutant que le marché marocain suit le cours mondial des hydrocarbures. Il a toutefois expliqué que le Conseil de la concurrence veille à observer les marchés, soulignant qu’il est interdit et inacceptable que les acteurs des hydrocarbures s’entendent pour augmenter ou baisser les prix en même temps.
quatrième augmentation en 15 jours, contrairement à la traditionnelle démarche établissant une révision des prix tous les 15 jours. Mardi soir, les prix ont connu une hausse d’environ 76 centimes le litre de gasoil et de près de 52 centimes le prix de l’essence, avec de légères différences selon les enseignes.
Dans une déclaration au micro de Hespress, A. Rahhou a rappelé que « le Conseil de la concurrence n’a pas le pouvoir de contrôler les prix. Le marché est libre et les acteurs économiques peuvent fixer librement les prix », ajoutant que le marché marocain suit le cours mondial des hydrocarbures. Il a toutefois expliqué que le Conseil de la concurrence veille à observer les marchés, soulignant qu’il est interdit et inacceptable que les acteurs des hydrocarbures s’entendent pour augmenter ou baisser les prix en même temps.