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Hydrocarbures
Ecoticias, portail ibérique, indique que ce gisement contiendrait des réserves prouvées de 1.000 millions de tonnes. Le site est situé dans la zone couverte…
A partir du 1er juillet, le prix du litre de gasoil augmentera de 0,33 dirham, oscillant désormais de 12,79 à 12,76 dirhams selon les distributeurs. Parallèlement, le prix de l’essence verra une hausse d’environ 16 centimes, charriant ainsi les 15 dirhams le litre. Cette nouvelle hausse est susceptible de mettre à rude épreuve le pouvoir d’achat des Marocains qui peinent à respirer durant les vacances après avoir subi la loi des chevillards lors de l’Aïd Al-Adha.
La capacité de stockage totale disponible au Maroc en gasoil et essence a atteint à fin 2023 près de 1,47 million de tonnes, dont 86% concerne le gasoil, en accroissement de près de 12% en glissement annuel, et de plus de 33% par rapport à 2020, indique le Conseil de la Concurrence.
Le niveau de corrélation entre la variation des prix de vente, des cotations à l’international et des coûts d’achat pondérés varie selon les produits (gasoil ou essence) et entre les périodes d’une même année, fait remarquer le Conseil de la Concurrence.
Selon le Financial Times, par crainte d’une hausse des prix mondiaux de l’or noir, les États-Unis auraient demandé à plusieurs reprises aux Ukrainiens de mettre un terme à leurs attaques contre les infrastructures énergétiques russes.
Transparency Maroc est sortie de son silence sur l’amende infligée aux opérateurs des hydrocarbures par le Conseil de concurrence au Maroc. En dénonçant les atermoiements de l’institution et en s’insurgeant contre ce qu’elle qualifie de décision « injuste et non transparente ».
Le Conseil de gouvernement a approuvé jeudi le projet de décret n° 2.23.962 modifiant et complétant le décret n°2.72.513 (7 avril 1973) pris pour l’application du dahir portant loi n°1-72-255 (22 février 1973) sur l’importation, l’exportation, le raffinage, la reprise en raffinerie et en centre emplisseur, le stockage et la distribution des hydrocarbures.
Le Conseil de la concurrence reste toujours sur le banc des accusés dans le dossier des hydrocarbures. Ainsi, le Syndicat national des professionnels du transport routier dénonce la faiblesse de l’amende transactionnelle imposée aux neuf sociétés pétrolières et de leur organisation professionnelle. Tel est le constat unanime dressé lors du colloque de jeudi, organisé à Rabat, sous le thème « Conseil de la concurrence et ententes sur les carburants ».
Face à la hausse incessante des prix des carburants et à son impact sur la vie quotidienne des Marocains, ainsi que sur les intérêts des professionnels du transport, le Bureau Exécutif de la Confédération Démocratique du Travail (CDT) souligne la nécessité d’adopter une approche globale pour renforcer la sécurité énergétique nationale du pays.
Le rendu du Conseil de la concurrence relatif au dossier nébuleux des hydrocarbures et les soupçons d’entente entre opérateurs dans le secteur, en tête desquels figure le grand distributeur national appartenant à la famille Akhannouch et ses associés, soulève nombre de questions quant à la liberté d’action du Conseil de la concurrence et les lacunes au niveau de la réglementation ad hoc. Si le verdict de l’institution que pilote Ahmed Rahhou confirme l’existence d’un trafic dont la légalité est en « borderline », il n’en reste pas moins que le manque à gagner exigible, tel qu’approuvé au terme d’un deal négocié, est loin de rendre justice et à l’Etat et aux consommateurs.
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