Energie & développement durable

La région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) est confrontée à une pénurie d’eau sans précédent, empêchant d’assurer aussi bien la vie que de préserver les moyens de subsistance, a estimé cette semaine la Banque mondiale.

Alors que s’ouvrait, mercredi, une conférence spéciale sur l’eau à New York, l’ONU signale qu’il faut se préparer à une crise de « l’eau douce » en raison du changement climatique et de la pollution. Les Nations unies estiment que 2,3 milliards d’habitants vivent dans des pays en situation de stress hydrique et que cela créera inexorablement des tensions.

IBM a annoncé, lundi, le lancement d’un appel d’offres organisé dans le cadre du programme d’accélérateur de durabilité d’IBM, lequel est destiné à la mise en place de solutions de gestion, dédié aux populations les plus vulnérables qui sont exposées aux menaces environnementales.

Les permis d’exploration des hydrocarbures sur la façade sud-Atlantique du Royaume s’accélèrent. Israéliens et Britanniques sont au coude dans cette région. L’ONHYM garde sous le boisseau les détails des négociations de ces contrats, par trop généreux pour les prospecteurs, sans pour autant que le parlement ne réagisse. En face, l’Espagne assure « veiller » au grain. Dans cette course-là, la première victime est l’information.

La Banque africaine de développement (BAD) a approuvé récemment l’octroi au Maroc, via son Fonds d’assistance technique pour les pays à revenu intermédiaire, d’un don de 201.000 euros avec pour objectif d’offrir au gouvernement une assistance technique pour les études de conception de barrages, d’aménagements des cours d’eau et des études d’interconnexion entre bassins hydrauliques.