Energie

Muhammadu Buhari, président nigérian, plaide en faveur du projet du gazoduc Maroc-Nigéria. «Le Royaume-Uni et les pays de l’Union européenne devraient investir dans notre pipeline prévu sur 4 000 km pour acheminer le gaz nigérian – les plus grandes réserves d’Afrique – via le Maroc, puis vers l’Europe» a-t-il assuré dans une interview accordée à l’agence Bloomberg.

Le Maroc, qui a réussi pour la première fois de son histoire d’entrer sur le marché international du gaz naturel liquéfié (GNL), a reçu des dizaines d’offres qui ont été examinées par une commission ad hoc, et va signer un premier contrat d’achat dans le courant de cette semaine, a annoncé lundi Leila Benali, ministre de la Transition énergétique et du développement durable.

L’Association professionnelle des dépositaires grossistes en GPL au Maroc a annoncé une grève nationale, mercredi et jeudi prochains. Dans un communiqué publié samedi, elle explique son action par les hausses successives qui frappent de plein fouet l’activité de ses membres. La faillite est au bout, assure-t-elle.

En ce début juin, la réalisation du gazoduc Maroc-Nigéria a franchi un nouveau cap avec le feu vert donné par le Conseil exécutif fédéral (FEC), autorité gouvernementale présidée par Muhammadu Buhari, chef de l’Etat, à la NNPC (Nigerian National Petroleum Corporation) pour conclure un accord avec la CEDEAO, a annoncé aux médias Timipre Sylva, ministre des Ressources pétrolières Pétrole.

La Régie autonome intercommunale de distribution d’eau, d’électricité et de gestion d’assainissement liquide des provinces d’El Jadida et de Sidi Bennour (RADEEJ) a annoncé le lancement d’un projet d’extension et de renforcement du réseau électrique basse tension (BT) dans les douars et quartiers sous-équipés.