Le rapport d’une enquête de l’ONU qui sera publié le 7 octobre révèle que des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité sont perpétrés en Libye depuis 2016. Torture et exactions contre des migrants sont notamment épinglées.

Le rapport établi par Antonio Guterres, Secrétaire général de l’ONU, à l’adresse du conseil de sécurité des Nations Unies, se réfère à la période s’étalant du 1er septembre 2020 au 31 août 2021. La présence en novembre 2020 à El Guergarate, d’éléments armés du «Polisario», y est relatée.

Antonio Guterres, secrétaire général des Nations unies, a estimé que la situation au Sahara occidental s’était «fortement dégradée» depuis un an. Les opérations militaires irritent le patron de l’ONU qui attend des parties en conflit d’agréer son émissaire pour relancer le processus de paix.

Plus de 670 institutions financières européennes ont été impliquées ces trois dernières années dans des transactions avec des entreprises liées aux colonies israéliennes en Cisjordanie occupée, selon un nouveau rapport.

Hussein Al-Ezzi, vice-ministre des Affaires étrangères du gouvernement de Sanaa, s’est adressé aux Nations Unies, en déclarant que « la reconnaissance par l’ONU d’Abed Rabbo Mansour Hadi en tant que président légitime du Yémen est le plus grand scandale politique et humanitaire, qui illustre la chute la plus épouvantable de valeurs dans l’histoire des Nations Unies et de la communauté internationale ».

Nasser Bourita, chef de la diplomatie marocaine, a réaffirmé que le Maroc restait « déterminé » à trouver une solution définitive au conflit du Sahara dans le respect de l’intégrité territoriale marocaine et dans cadre de la souveraineté nationale marocaine. Comme il a appelé l’Algérie à assumer pleinement son rôle actif dans la création et le maintien de ce conflit.

Des rapporteuses spéciales de l’ONU ont saisi le gouvernement marocain demandant plusieurs éclaircissements sur le cas des deux journalistes, Souleiman Raissouni et Omar Radi, incarcérés, avant de rédiger leur rapport final, qui devrait être soumis au Conseil des droits de l’homme et au Secrétaire général des Nations Unies.

En pointant la probabilité d’une nouvelle pandémie, Joe Biden a affirmé à la tribune de l’Onu que l’avenir de l’humanité était incertain. Soit le monde arrive à collaborer pour renforcer le domaine de la santé, soit il échoue. De plus, le Président a appelé à la création de nouveaux mécanismes de surveillance sanitaire.

Tandis que le monde fait toujours face à la pandémie de Covid-19, le secrétaire général de l’Onu a averti dans son discours d’autres menaces qui pourraient entraîner de nouvelles crises, en particulier des cyberattaques.