Bachar al-Assad président syrien s’est rendu à Téhéran dans le cadre d’une visite inopinée qui intervient après trois ans d’absence. Le 8 mai, le président syrien a rencontré successivement Ali Khamenei, guide suprême de la République islamique, ainsi qu’Ebrahim Raïssi, président iranien. Objectif : dynamiser la coopération bilatréale, mais aussi solidifier « l’axe » anti-impérialiste dans la région.

Une fois de plus, l’armée israélienne a ciblé la banlieue de Damas où des déflagrations ont secoué la région. Dans un communiqué, les autorités syriennes ont parlé de pertes matérielles occasionnées par les missiles qui ont échappé à la DCA.

La volonté d’Ankara d’entamer un dialogue avec Damas existe-t-elle dans les faits ? Le journal turc Hurriyet a rapporté lundi 4 avril que les discussions sont en cours en vue de rétablir les relations entre les deux pays voisins qui se jaugent toujours en chiens de faïence.

Sous la pression des ONG qui insistent pour savoir l’ampleur des crimes américains en Syrie, et surtout à Raqqa, la fondation Rand Corporation a réalisé une étude, dans laquelle les Etats-Unis reconnaissent qu’il y a bien eu des victimes pendant les bombardements mais bien en deca de la réalité.

A l’heure où Hayat Tahrir al-Cham (HTC) tente de reprendre le contrôle dans la région d’Idlib au prix de négociations, mais aussi de guerre fratricide entre djihadistes, les opérations militaires russo-syriennes ont repris.

Le réchauffement des relations entre la Syrie et les Emirats arabes unis fait parler de lui, a la lumière de la récente visite du président syrien Bachar al-Assad à Abu Dhabi, la première depuis 10 ans.

Le président Bachar al-Assad a visité les Emirats arabes unis et a rencontré à Dubaï, Mohammed ben Rachid Al Maktoum, vice-président des EAU et Premier-ministre, Emir de Dubaï.

Deux civils syriens ont trouvé la mort, lundi 7 mars, suite à une agression israélienne contre certaines positions à Damas et dans la région du sud.

Bachar al-Assad, président syrien, a affirmé au cours d’un appel téléphonique avec le président russe, Vladimir Poutine, que « la Russie ne se défend pas seulement, mais défend le monde aussi ».