Dans une récente tribune, le Président américain a estimé que la Russie et le Hamas se battent tous deux pour effacer une démocratie voisine de la carte. Un ex-officier du renseignement américain affirme que Joe Biden n’a pas la capacité mentale d’établir de tels parallèles.

Ismail Haniyeh, chef du bureau politique du Hamas, a affirmé que « le dernier mot dans la guerre contre Gaza reviendra à la résistance », soulignant que « notre souffle sera plus long, si l’occupation veut que ce soit une longue bataille », en référence à la volonté de la résistance de continuer à affronter l’agression israélienne.

Ismail Qaani, chef des Gardiens de la révolution iranienne, a rappelé son soutien inconditionnel au Hamas dans son combat contre l’armée israélienne. Selon l’agence Reuters, l’Iran ne serait pas prêt à se risquer à un affrontement militaire et son soutien demeurerait avant tout « politique et moral ».

Dans sa très attendue adresse, Hassan Nasrallah, leader du Hezbollah libanais, a fait endosser vendredi 3 novembre aux Etats-Unis la responsabilité de la guerre en cours à Gaza. Rappelant l’action héroïque menée par le Hamas depuis le 7 octobre dernier, et la relance des activités de la résistance libanaise dès le 8 octobre, il a estimé que « toutes les options » étaient ouvertes. Ni les menaces d’Israël, ni celles des USA, à la tête d’une coalition occidentale, ne sauraient brider l’action de l’axe de la résistance.

Ismaïl Haniyeh, chef du Bureau politique du Hamas, a accusé mercredi Israël de commettre « des massacres » à Gaza pour couvrir ses « échecs » et a affirmé que la région ne connaîtrait de stabilité que si les Palestiniens accèdent àleur indépendance.

Une délégation du Hamas a atterri mercredi soir à Moscou pour une visite officielle, selon l’agence de presse russe RIA, qui a indiqué que celle-ci était dirigée par Moussa Abou Marzouk, chef adjoint du bureau politique du mouvement de résistance palestinien.