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« De graves présomptions de prévarication » – autrement dit de « détournement de deniers publics » – pèsent sur cinq anciens ministres de l’ex-président Macky…
Au lendemain de la décision de la Cédéao de déployer sa force en attente à l’issue du sommet d’Abuja, des milliers de Nigériens ont manifesté vendredi à Niamey, près de la base militaire française, en soutien au CNSP. La réunion des chefs d’état-major de la Cédéao, initialement prévue samedi à Accra, a été reportée pour « des raisons techniques », sans qu’une nouvelle date n’ait été dévoilée.
La junte qui a pris le pouvoir il y a deux semaines a nommé, mercredi soir, une nouvelle équipe. Vingt ministres, dont quatre femmes, épauleront Ali Mahaman Lamine Zeine, nommé lundi 7 août à la tête de l’Exécutif nigérien. Le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie (CNSP) se contente des ministères régaliens. Cette initiative politico-institutionnelle n’a pas empêché la Cédéao de décréter la mobilisation de ses troupes. Un langage de fermeté salué par Paris et Washington.
Deux semaines après le coup d’État au Niger, dans des courriers communs adressés à l’ONU et à l’Union africaine (UA), les ministres malien et burkinabè des Affaires étrangères appellent les organisations internationales à leur responsabilité pour empêcher toute intervention militaire au Niger. Cet appel intervient à la veille d’une nouvelle réunion de la Cédéao qui avait condamné le coup de force de l’armée à Niamey.
Le régime militaire au Niger a affirmé à la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cédéao), dans un courrier daté du 7 août 2023, ne pas pouvoir accueillir à Niamey « une mission conjointe de la Cédéao, des Nations unies et de l’Union africaine » en rapport avec la crise nigérienne.
Quelques heures après l’expiration de l’ultimatum lancé par la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) aux putschistes nigériens, l’organisation a convoqué un deuxième sommet des chefs d’État sur la situation au Niger pour le 10 août. Le Conseil militaire qui a pris le pouvoir à Niamey a décidé de boucler l’espace aérien du pays.
Ismaila Madior Fall, ministre sénégalais de la Justice, s’est exprimé devant la presse sur la libération sous contrôle judiciaire de l’avocat controversé français, Juan Branco, connu pour avoir défendu Julian Assange ou les gilets jaunes en France.
A quelques heures de la fin de l’ultimatum posé à la junte nigérienne par la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cédéao), près de 30 000 partisans du coup d’État se sont retrouvés dimanche, au stade Général Seyni Kountché. En parallèle, une délégation du Mali et du Burkina Faso a fait le déplacement au Niger à titre de solidarité.
Juan Branco, avocat français d’Ousmane Sonko, a passé la nuit du samedi à dimanche, dans la prison dakaroise de Rebeuss (centre-ville). Depuis son incarcération, l’avocat a entamé une grève de la faim. L’avocat a été arrêté, vendredi soir, à la frontière maritime de la Mauritanie et a été confié aux forces spéciales sénégalaises qui l’ont remis à la division des investigations criminelles (police spéciale), samedi, sur ordre du procureur.
Après trois jours de travaux à Abuja, les chefs d’état-major de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao) ont défini les contours d’une « éventuelle intervention militaire » contre les putschistes qui contrôlent le pouvoir au Niger depuis plus d’une semaine. Ils ont achevé leurs travaux ce vendredi 4 août dans la capitale fédérale du Nigeria.
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