Afrique de l’Est
Khartoum a attaqué les Émirats devant la CIJ à La Haye, les accusant de complicité de génocide à l’encontre de la communauté masalit, en…
Le nombre de personnes tuées lors des affrontements est estimé à environ 16 000, mais…
Plus de la moitié de la population soudanaise est confrontée à une « insécurité alimentaire aiguë », en raison de la guerre civile qui ravage le pays, ont alerté plusieurs agences de l’ONU. 755 000 personnes subissent, quant à elles, une situation de famine dans ce pays plongé depuis un an dans une guerre civile.
Le président kényan, a annoncé mercredi 26 juin le retrait du projet de budget 2024-25 prévoyant des hausses de taxes, à l’origine d’une puissante contestation dans le pays qui a sombré mardi dans une violence meurtrière. Au moins 23 personnes avaient trouvé la mort la veille dans la répression des manifestations, selon les organisations des droits de l’homme. William Ruto a cédé à la pression de la rue. N’empêche, la colère est toujours là. Une fois de plus, la police a tiré sur les manifestant jeudi.
Les autorités kényanes ont décrété l’état d’urgence sur fond de manifestations dans le pays. Le Président William Ruto a annoncé avoir envoyé des troupes pour mettre fin aux désordres.
Le Soudan dénombre maintenant près de 10 millions de déplacés internes, qui fuient la guerre, mais aussi maintenant, la faim. Cela fait 14 mois que l’armée et les paramilitaires des Forces de soutien rapide, s’affrontent pour le pouvoir.
Des militants prodémocratie au Soudan ont fait état, vendredi 7 juin, d’environ 40 morts dans de « violents tirs d’artillerie » menés la veille par des paramilitaires sur des quartiers d’Omdourman, ville jumelle de Khartoum.
Selon le Premier ministre djiboutien, les États-Unis avaient demandé en octobre l’autorisation de mener des opérations contre les Houthis depuis leur base navale. Mais ce pays africain a rejeté cette requête.
Le monde ferme les yeux sur les souffrances des civils au Soudan, l’aide humanitaire qui arrive n’est parfois pas suffisante, déplorent des responsables de la Communauté des organisations civiles soudanaises.
Six ressortissants marocains ont été relâchés par décision du tribunal militaire du Puntland (Somalie), en vue de leur retour au pays d’origine, après leur condamnation à mort pour des faits de terrorisme au sein du groupe Daech. Ils sont désormais remis à l’Administration des affaires constitutionnelles relevant du ministère somalien de la Justice, afin de faciliter leur transfert au Maroc.
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