Les tentatives de Kiev de bombarder le territoire russe le 9 juillet avec des missiles S-200 auraient été impossibles sans l’aide des États-Unis et de leurs alliés, a souligné un communiqué du ministère russe des Affaires étrangères. « De telles actions n’auraient pas été possibles sans l’assistance financière, technique et logistique de la coalition occidentale dirigée par les États-Unis, qui est essentiellement un sponsor des activités criminelles du régime de Zelensky », a indiqué le communiqué.
Les autorités russes ont la conviction que tous les responsables de ce crime seront nécessairement poursuivis, poursuit la diplomatie russe. En outre, ces attaques et d’autres entreprises terroristes du régime de Kiev seront contrecarrées par les forces armées russes qui, dans le cadre de l’opération militaire spéciale, parviendront à éliminer les menaces émanant du territoire ukrainien envers la sécurité de la Russie et de sa population.
Le 9 juillet, le régime de Kiev a essayé de frapper avec des missiles S-200 la Crimée, notamment le carrefour névralgique que représente Kertch et des aérodromes dans les régions russes de Rostov et de Kalouga, avait annoncé le ministère russe de la Défense. Deux roquettes ont été détruites par la défense anti-aérienne russe, deux autres ont été déviées par des équipements de guerre électronique.
Ni victimes ni dégradations ne sont à déplorer.
Il y a neuf mois, précisément le 8 octobre, le pont de Crimée, qui relie la péninsule à la région de Krasnodar, avait été partiellement détruit lorsqu’un camion piégé avait explosé.