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Turquie
Le parquet d’Istanbul a ordonné ces arrestations dans le cadre de la même enquête. Mais l’opposition dénonce une opération qui serait liée à la…
A l’heure où Damas réitère ses exigences pour que la Turquie quitte le gouvernorat d’Idlib, Recep Tayyip Erdogan assure, lui, que son pays ne s’y soumettra pas et qu’il est prêt à recourir à des armes lourdes. L’agence syrienne Sana a fait part, jeudi, de renforts turcs acheminées dans cette zone de désescalade.
Le Président turc a qualifié les relations de son pays avec les États africains de « stratégiques » et rappelé que les échanges commerciaux entre les deux parties avaient dépassé 25 milliards de dollars à la fin de l’année dernière.
La Turquie a accusé mercredi les Etats-Unis et la Russie d’avoir une part de « responsabilité » dans les récentes attaques conduites contre ses forces en Syrie et à la frontière, se réservant le droit de riposter.
Fayçal al-Mekdad, ministre syrien des Affaires étrangères, a assuré que le temps est venu pour la Turquie de retirer ses forces du nord-ouest de la Syrie indiquant qu’il n’y avait pas de divergences avec les Russes concernant les priorités dans le domaine de la lutte contre le terrorisme à l’intérieur de la Syrie.
Ankara a qualifié les déclarations d’Emmanuel Macron sur l’Algérie et son histoire de «populisme». Cette réaction turque intervient après la publication de propos où le président français qualifie le règne ottoman sur l’Algérie de colonisation. De quoi susciter un début de remous diplomatiques.
La quête de compromis entre Russes et Turcs sur le dossier syrien ne semble pas scellée. La preuve, l’absence de conférence de presse conjointe après le sommet de Sotchi a laissé place au langage de la canonnière.
Compliquée est la donne entre la Russie et la Turquie, deux puissances qui ont des intérêts qui divergent sur nombre de théâtres d’opérations où les deux pays se projettent. A Sotchi, V. Poutine qui accueille R.T. Erdogan réussira-t-il à dissiper les malentendus et à quels prix ?
Entre la Turquie et les États-Unis, la guerre des mots reprend de plus belle. Le Président turc a affirmé qu’il avait « bien travaillé » avec les Présidents Bush, Obama et Trump, mais n’avait pas pris « un bon départ » avec Joe Biden. Mais il est allé plus loin en assurant que son pays n’entendait pas rester immobile alors que les Américains livrent armes et munitions à la rébellion en Syrie, les Kurdes en l’occurrence.
Le Maroc a reçu les premiers drones de combat turcs Bayraktar TB2 selon le site turc Daily Sabah et le forum spécialisé Far-Maroc, alors que les autres unités sont attendues prochainement conformément au contrat signé en avril dernier.
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