Au Burkina Faso, une dizaine de civils ont été tués dans la province du Bam, située dans la région du Centre-Nord. Assiégés depuis plusieurs semaines par des groupes armés, les ressortissants de Namsiguia avaient lancé un appel au secours en début de semaine dernière sur la menace qui pèse sur leurs parents sur place.

Au moins 200 personnes ont été tuées au cours de plusieurs attaques menées la semaine passée par des hommes armés dans l’Etat de Zamfara, dans le nord-ouest du Nigeria.

Le Comité national chargé de l’exécution des sanctions du Conseil de sécurité de l’ONU en lien avec le terrorisme et la prolifération des armes et leur financement a été installé mercredi à Rabat.

La Direction du renseignement et de la sécurité de la province irakienne de Kirkouk a fait état de l’arrestation d’un groupe de quatre terroristes de Daech qui avaient l’intention de mener des attaques terroristes.

Des groupes d’experts britanniques examinent la remise en liberté anticipée de 92 détenus pour actes de terrorisme. Parmi eux figurent des auteurs d’attentats, des djihadistes et un néo-nazi.

Le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ) a déféré mardi devant le Parquet en charge des affaires de terrorisme et d’extrémisme, un partisan de Daech qui s’activait dans la région de Sala Al Jadida, interpellé le 16 décembre dernier.

Alexander Lavrentiev, représentant spécial du président russe en Syrie, a exprimé mardi 21 décembre, son inquiétude face à la recrudescence des activités des groupes terroristes dans la plupart des régions syriennes. Turcs et Américains sont concernés, en filigrane, par ces déclarations russes. Mais pas Israël qui multiplie ses raids contre l’armée syrienne.

Alors que la France a réduit sa présence militaire au Mali, la junte au pouvoir à Bamako a validé le déploiement supplémentaire de 1000 soldats venus du Tchad au sein de la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) pour faire face aux menaces terroristes.

Une enquête menée par le New York Times a levé le voile, samedi, sur les frappes de drones privilégiées depuis 2014 par l’armée américaine dans sa guerre contre les groupes djihadistes en Afghanistan, Irak et Syrie. Renseignements défaillants, dommages collatéraux inévitables et assassinats par milliers émaillent ce récit pour le moins scandaleux !