L’entité sioniste a mené, dans la nuit du mercredi 16 février, une agression aux missiles sol-sol contre le sud de Damas, a annoncé un communiqué du commandement syrien. Si aucune perte humaine n’est à déplorer, il n’en reste pas moins que le momentum choisi pour cette nouvelle agression soulève nombre de questions.

Ce qui était craint par les services russes en Syrie est en train de se produire. Les djihadistes, toutes obédiences confondues, sortent de l’ombre pour opérer des attentats.

Une fois n’est pas coutume, l’armée israélienne a mené une double frappe contre des cibles en territoire syrien. Cette agression caractérisée a été réalisée par des raids aériens menés par l’aviation israélienne et par des missiles sol-sol provenant du Golan. Cette escalade intervient à l’heure où les Russes craignent un retour des attentats takfiristes qui seraient bénis par les services US.

La Russie entend faire valoir ses capacités de projection en multipliant les manœuvres militaires. Ainsi, plus d’une centaine de bâtiments de guerre russes sont amarrés dans le port syrien de Tartous pour participer aux manœuvres navales de la Méditerranée.

Abu Ibrahim al-Hashimi al-Qurayshi, successeur d’Al-Baghdadi à la tête de l’organisation terroriste Daech, a mordu la poussière à Idlib, non loin de l’endroit où son prédécesseur avait succombé à un raid US. L’opération conduite jeudi dans le nord de la Syrie, a été un succès, a annoncé le président des États-Unis. Tous les soldats américains sont sains et saufs, a-t-il précisé.

Des avions de combat turcs ont frappé des cibles kurdes, notamment des camps d’entraînement, des abris et des dépôts de munitions en Irak et dans le nord de la Syrie, a annoncé mercredi le ministère turc de la Défense.

La DCA syrienne a été actionnée, à l’aube du lundi 31 janvier, pour repousser une agression israélienne aux missiles ciblant certaines positions aux alentours de Damas. Plus tard dans la journée, des médias israéliens ont assuré que le trafic aérien a été perturbé depuis la base russe de Hmeimim.

Plus de 500 morts parmi les combattants de Daech et plus d’une cinquantaine parmi les forces kurdes, tel est le bilan sanglant de la bataille qui a surpris les FDS et les Américains aux alentours de la prison de Hassaké. A Damas, on ne se fait pas d’illusions : la résurgence du danger Daech serait l’œuvre américaine avec l’appui des FDS.

Plus de 500 morts parmi les combattants de Daech et plus d’une cinquantaine parmi les forces kurdes, tel est le bilan sanglant de la bataille qui a surpris les FDS et les Américains aux alentours de la prison de Hassaké. A Damas, on ne se fait pas d’illusions : la résurgence du danger Daech serait l’œuvre américaine avec l’appui des FDS.