Afrique de l’Ouest
« De graves présomptions de prévarication » – autrement dit de « détournement de deniers publics » – pèsent sur cinq anciens ministres de l’ex-président Macky…
Sergueï Lavrov s’est exprimé au cours d’un entretien téléphonique avec son homologue malien Abdoulaye Diop,…
Cette opération a ciblé plusieurs groupes criminels ouest-africains dont en particulier Black Axe, groupe…
« Je ne crois pas à la malédiction du pétrole. La stratégie est de faire…
Le Sénégal réaffirme son ambition de retrouver sa souveraineté économique, notamment sur son secteur minier. Depuis leur accession au pouvoir, le nouveau président Bassirou Diomaye Faye et son Premier ministre Ousmane Sonko pointent du doigt un assujettissement à la France et souhaitent renégocier certains contrats.
A Niamey, les dirigeants militaires du Mali, du Burkina Faso et du Niger ont signé, samedi 6 juillet, l’acte constitutif de la confédération des États du Sahel. Le général Tiani, le colonel Goïta et le capitaine Traoré se sont engagés à renforcer leur coopération dans plusieurs domaines.
Vingt militaires et un civil ont été tués, mardi 25 juin, dans l’ouest du Niger dans une attaque perpétrée par une « coalition de groupes armés terroristes », a annoncé le ministère de la défense dans un communiqué lu à la télévision nationale, Télé Sahel.
Le Niger a retiré le permis d’exploitation de l’important gisement d’uranium à l’entreprise française Orano, mettant à exécution un ultimatum adressé à la société, dans un contexte de vives tensions entre Paris et Niamey. En parallèle, des partenariats avec d’autres nations se nouent au Niger.
Un mouvement rebelle, prétendant « lutter pour la libération » du président déchu Mohamed Bazoum, a annoncé avoir mis « hors d’usage » le 16 juin « un important tronçon » de l’oléoduc acheminant du pétrole brut du Niger vers le Bénin, dans le but de saboter un soutien financier chinois.
Au Niger, la Cour d’État a levé ce 14 juin 2024 l’immunité présidentielle de Mohamed Bazoum, chef d’État de 2021 à 2023, renversé par un coup d’État le 26 juillet dernier. La Cour d’État, créée quelques mois après la prise de pouvoir par le Conseil national pour la sauvegarde de la patrie, concentre les compétences de la Cour de cassation et du Conseil d’État. M. Bazoum pourrait désormais être poursuivi devant un tribunal militaire, notamment pour haute trahison, complot ayant pour but de porter atteinte à la sûreté de l’État et apologie du terrorisme.
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