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Afrique de l’Ouest
« De graves présomptions de prévarication » – autrement dit de « détournement de deniers publics » – pèsent sur cinq anciens ministres de l’ex-président Macky…
Au Sénégal, l’opposant O. Sonko avait quitté la Casamance vendredi à la tête d’un convoi populaire. Une démonstration de popularité vite circonscrite par l’intervention des forces de l’ordre qui ont procédé à l’arrestation de ce leader politique poursuivi par la justice.
Au Burkina Faso, une quarantaine de personnes ont été tuées au cours d’une série d’attaques dans le Centre-Est et dans le nord du pays. Ces attaques ont été menées entre lundi et jeudi, par des jihadistes présumés.
Au Nigeria, un convoi du consulat US a été attaqué mardi dans l’État d’Anambra, dans le sud-est du pays. Quatre personnes ont été tuées et trois autres kidnappées, selon la Maison Blanche qui a précisé qu’aucune des victimes n’était américaine.
Au Burkina Faso, une nouvelle attaque a fait au moins 33 morts, tous des civils, jeudi 11 mai, dans un village situé dans l’ouest du pays.
Des milliers de manifestants ont répondu à l’appel de la Plateforme des forces vives de la Nation F24. « Non à une éventuelle 3e candidature de Macky Sall », est le mot d’ordre annoncé vendredi à Dakar. L’opposition ne veut pas voir le chef de l’État briguer un troisième mandat en 2024.
Au Sénégal, des photos, prises jeudi 4 mai, suscitent la polémique. On y voit Macky Sall, chef de l’État, aux côtés de Khalifa Sall, Habib Sy, et Barthélémy Dias, tous des figures de la coalition d’opposition Yewwi Askan Wi.
La junte au pouvoir au Mali a annoncé vendredi, dans un décret lu à la télévision nationale par le porte-parole du gouvernement, la tenue le 18 juin du référendum sur une nouvelle Constitution, initialement prévu le 19 mars mais repoussé.
Au Sénégal, l’appel au dialogue politique lancé par le président Macky Sall fait débat à dix mois de la présidentielle. La récente plateforme « des forces vives de la Nation F24 », qui regroupe plus d’une centaine de partis et d’organisations de la société civile, estime en tout cas ne « pas être concernée ».
Au Burkina Faso, le ministre de la Défense a dénoncé devant des représentants de la société civile une « coalition internationale » contre son pays. Il a exhorté ses compatriotes à ne pas être complices de celle-ci et à plus de solidarité dans la lutte contre le terrorisme.
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